Dans "l'affaire" des coupures d'eau, à aucun moment je n'ai dit qu'il y avait mille coupures d'eau à Romilly.- J'ai seulement parlé de menaces qui pouvaient concerner mille foyers (Voir l'article de presse du 2 juin). Mais là n'est pas l'essentiel. En effet, qu'il y ait actuellement une soixantaine de familles romillonnes privées d'eau a choqué bien du monde dans notre ville. Une situation qui ne m'apparaît malheureusement pas surprenante dans notre ville où le chômage n'en finit pas de progresser, où le revenu moyen par habitant est inférieur au revenu moyen du département, lui-même encore inférieur à celui au niveau national.
- Dans cette France des traders, des parachutes en or, des retraites dorées et des stock-options, il est intolérable que l'on puisse priver des familles d'eau ; produit de première nécessité, de nécessité vitale. Cette ressource naturelle devrait être placée hors du champ de la concurrence et de la rentabilité pour enrichir des actionnaires ; elle devrait être protégée comme un bien public et être soustraite, en tant que tel, de la course aux profits.
- S'agissant de la situation romillonne avec ses 60 coupures d'eau, il serait bon, me semble-t-il, de rappeler à VEOLIA ses obligations contractuelles vis-à-vis des familles en difficulté économique. En absorbant RUAS, ce groupe a hérité de la responsabilité de mettre en oeuvre, jusqu'à son renouvellement en 2014, toutes les dispositions du contrat d'affermage conclu en 2004 entre la Commune et RUAS.
- En effet, l'article 38 de ce document sur la distribution d'eau potable indique explicitement :
"Le service d'eau s'engage à trouver des solutions personnalisées en coordination avec les services sociaux [...] pour permettre d'assurer la continuité de la fourniture d'eau potable en cas de défaut de paiement par l'abonné. Les service des eaux pourra accorder des facilités et échéanciers adaptés de paiement aux abonnés ...".
Si ces dispositions étaient bien respectées, il ne devrait plus y avoir de coupure d'eau !
Joë Triché, Conseiller général, Conseiller municipal
7 commentaires:
Les propos déformés de J.Triché ont été montés en épingle par une basse presse qui vise à détruire tout ce qui pourrait nuire à son Dieu ERIC VUILLEMIN. Honte à elle !
De la désinformation mais pas de connaissance.
Voilà donc que VEOLIA, qui fait des erreurs de calcul de 120 000 € par an pour la gestion de la station d'épuration, ne sait pas non plus lire ce qui est écrit dans ses contrats. Je propose donc à monsieur VEOLIA d'inscrire des tests basiques de lecture et de calcul dans les protocoles de recrutement de son personnel dirigeant.
Pour en revenir à la station d'épuration, je rappellerai que, pour partie, elle a été payée deux fois par les romillons puisque La Lyonnaise des Eaux, titulaire à l'époque du marché de l'eau dans notre ville, en facturait la construction qu'elle jamais réalisée. Michel Cartelet et Sarah Auzols, en élus soucieux des intérêts de leurs administrés, n'ont jamais voulu porter l'affaire devant les tribunaux compétents afin que les romillons soient remboursés des sommes indûment payées. Demande réitérée à plusieurs reprises devant le Conseil municipal par les élus communistes.
"Merci Michel, merci Sarah" comme je l'ai lu en son temps sur des affichettes collées en ville après l'élection de Vuillemin à la mairie.
Quant aux fripouilles qui nourrissent leur veau gras en exploitant une ressource naturelle comme l'eau, qu'ils commencent déjà par respecter leurs obligations contractuelles ( au fait, où en est-on du remplacement des installations en plomb ? ) avant de tomber comme des rapaces sur les personnes en difficulté financière.
planqué derriere ton anonymat, c'est facile de mentir et d'accuser, si tu en as une paire , mets ton vrai nom pour accuser les gens!!!!!!
Ben commence par donner le tien ! Je n'accuse pas ni ne ment : je rappelle simplement des faits avérés, connus par des centaines de romillons et confirmés par des rapports d'enquête officiels.
Salut ma poule !
Cela vole bas, vous devriez aller jouer ailleurs. CE blog est réputé pour être sérieux
Moi, je ne bois plus de Pastis, je fais des économies d'eau.
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