
Un conseil qui a commencé tout en images : diapos sur les travaux dans les écoles Robespierre et Gambetta, sur les travaux du parking Pasteur et en couleurs, on a même eu droit aux simulations des couleurs sur les bâtiments scolaires : de l’arlequin au gris en passant par le mixte. Ce qui a provoqué cette petite pointe d’humour de Joë Triché : « le rouge vif et le bleu pâle me vont bien ! »
- Comme on aurait aimé se laisser aller dans cette quiétude du moment. Mais la réalité est là : fermetures d’écoles, chômage, vie associative mise à mal, associations caritatives surchargées avec l’augmentation des difficultés des familles, budget de la ville avec des rentrées financières plutôt incertaines du fait des réformes prévues… D’un côté, le maire, Eric Villemin et sa majorité qui confondent volontarisme souhaitable et nécessaire d’autant que Romilly a souffert d’un « immobilisme » dommageable ces dernières années et, méthode Coué : « je ne tiens pas compte des réalités, je fonce droit… dans le mur ! » Au profit de qui ? Et qui va payer ? Un maire et sa majorité qui confondent concertation, certes insuffisante aussi dans les années précédentes, et recherche d’un plébiscite pour leurs projets.
- En face, l’opposition m’est apparue unanime dans sa protestation, sa contestation et dans ses propositions où chacun a apporté sa contribution (voir le blog de H. Guérin) et où l’expérience de Joë Triché et celle de Rolande Barthélémy ont permis de bien pointer les responsabilités et d’enrichir les propositions. Un fait qui mérite aussi d’être souligné, il y a eu unanimité dans tous les votes de l’opposition.
LA VIE DES ROMILLONS SUR DOSSIERS
Ecoles : rénovées c’est bien , efficaces c’est encore mieux !
- Rénovations des écoles Robespierre et Gambetta ; fermeture de l’école maternelle Langevin pour la rentrée 2010 ; démolition du groupe scolaire Eugénie-Cotton en 2012 ; refonte de la carte scolaire avec bouleversements dans la répartition des élèves. Certes, des travaux et des investissements importants sont prévus -1,8 millions €- pour la rénovation des écoles mais comme l’a rappelé Joë Triché : « les écoles sont de la compétence communale, il est donc normal et nécessaire de le faire ». Il a demandé que ceux qui utilisent les écoles, élèves et enseignants, soient consultés sur les aménagements. Ce sera fait ! Concernant la suppression d’Eugénie-Cotton, constatant que les 2 fédérations de parents d’élèves FCPE et PEEP se disaient contre cette disparition, il a demandé que leur parole soit écoutée et entendue et que la décision du maire soit revue. Enfin il a alerté : « de belles écoles c’est bien, mais pour quel enseignement ? [...] avec combien d’enseignants ? 14 000 postes ont été supprimés en 2009 et 16 000 sont prévus en 2010, l’enseignement de l’histoire et géographie est remis en cause [...] Pour qu’il y ait égalité des chances et de réussite de tous les enfants, il faut des moyens ». Je ne peux qu’encourager les parents d’élèves, la population à rester vigilants et actifs pour assurer l’avenir des enfants et des jeunes.
Piscine : toujours à sec !
Le maire a annoncé 2 options :
- soit sur le site actuel : réhabilitation avec extension,
- soit sur la colline des Hauts-Buissons dans le cadre d’un budget déterminé, la communauté de commune ne voulant pas s’intégrer dans ce projet.
Des questionnaires seront remis à la population, des réunions publiques organisées. Mais tout ce déploiement de « concertation » ne sert qu’à masquer la réalité. C’est un échec du maire et de sa majorité concernant la participation financière des communautés de commune de notre bassin de vie. Ce seront les romillons seuls qui devront financer cet équipement pourtant d’utilisation intercommunale. Cela fait plus de 18 mois que la piscine est fermée et que rien de concret n’est encore en route malgré une première consultation (favorable à la réhabilitation sur place). C’est inacceptable, il devient urgent que les romillons s’en mêlent.
Centrale solaire au grand jour, mais l'emploi toujours dans la pénombre :
- Le président de la communauté de communes, M. Allard, a annoncé la signature du permis de construire de la centrale solaire sur l’aérodrome. C’est un investissement de 30 à 35 millions d'€. Il est prévu une production d’électricité en 2111 et une recette de 200 000 € par an pour la communauté de commune. Lors de cette question, l’interpellation de Claude Maitrot sur l’emploi a provoqué un débat contradictoire sur le concret à Romilly. En dépit des annonces faites, du volontarisme proclamé des élus majoritaires, de l’activité surmédiatisée de la MEFER, il y a plus de 1 000 chômeurs à Romilly, en augmentation de 2% (il y a donc plus de suppressions que de créations d'emplois) et ceci sans prendre en compte la situation à la SIRC et d’Olympia.
- En face, l’opposition m’est apparue unanime dans sa protestation, sa contestation et dans ses propositions où chacun a apporté sa contribution (voir le blog de H. Guérin) et où l’expérience de Joë Triché et celle de Rolande Barthélémy ont permis de bien pointer les responsabilités et d’enrichir les propositions. Un fait qui mérite aussi d’être souligné, il y a eu unanimité dans tous les votes de l’opposition.
LA VIE DES ROMILLONS SUR DOSSIERS
Ecoles : rénovées c’est bien , efficaces c’est encore mieux !
- Rénovations des écoles Robespierre et Gambetta ; fermeture de l’école maternelle Langevin pour la rentrée 2010 ; démolition du groupe scolaire Eugénie-Cotton en 2012 ; refonte de la carte scolaire avec bouleversements dans la répartition des élèves. Certes, des travaux et des investissements importants sont prévus -1,8 millions €- pour la rénovation des écoles mais comme l’a rappelé Joë Triché : « les écoles sont de la compétence communale, il est donc normal et nécessaire de le faire ». Il a demandé que ceux qui utilisent les écoles, élèves et enseignants, soient consultés sur les aménagements. Ce sera fait ! Concernant la suppression d’Eugénie-Cotton, constatant que les 2 fédérations de parents d’élèves FCPE et PEEP se disaient contre cette disparition, il a demandé que leur parole soit écoutée et entendue et que la décision du maire soit revue. Enfin il a alerté : « de belles écoles c’est bien, mais pour quel enseignement ? [...] avec combien d’enseignants ? 14 000 postes ont été supprimés en 2009 et 16 000 sont prévus en 2010, l’enseignement de l’histoire et géographie est remis en cause [...] Pour qu’il y ait égalité des chances et de réussite de tous les enfants, il faut des moyens ». Je ne peux qu’encourager les parents d’élèves, la population à rester vigilants et actifs pour assurer l’avenir des enfants et des jeunes.
Piscine : toujours à sec !
Le maire a annoncé 2 options :
- soit sur le site actuel : réhabilitation avec extension,
- soit sur la colline des Hauts-Buissons dans le cadre d’un budget déterminé, la communauté de commune ne voulant pas s’intégrer dans ce projet.
Des questionnaires seront remis à la population, des réunions publiques organisées. Mais tout ce déploiement de « concertation » ne sert qu’à masquer la réalité. C’est un échec du maire et de sa majorité concernant la participation financière des communautés de commune de notre bassin de vie. Ce seront les romillons seuls qui devront financer cet équipement pourtant d’utilisation intercommunale. Cela fait plus de 18 mois que la piscine est fermée et que rien de concret n’est encore en route malgré une première consultation (favorable à la réhabilitation sur place). C’est inacceptable, il devient urgent que les romillons s’en mêlent.

- Le président de la communauté de communes, M. Allard, a annoncé la signature du permis de construire de la centrale solaire sur l’aérodrome. C’est un investissement de 30 à 35 millions d'€. Il est prévu une production d’électricité en 2111 et une recette de 200 000 € par an pour la communauté de commune. Lors de cette question, l’interpellation de Claude Maitrot sur l’emploi a provoqué un débat contradictoire sur le concret à Romilly. En dépit des annonces faites, du volontarisme proclamé des élus majoritaires, de l’activité surmédiatisée de la MEFER, il y a plus de 1 000 chômeurs à Romilly, en augmentation de 2% (il y a donc plus de suppressions que de créations d'emplois) et ceci sans prendre en compte la situation à la SIRC et d’Olympia.
- Une anecdote qui en dit long sur les effets d’annonces et la réalité : d’après le maire, 2 entreprises « secrètes » devaient créer 15 emplois chacune. Cela n’aura pas lieu « du fait de l’activité aéronautique » ! Il y a pourtant assez de friches industrielles à Romilly, mais comme par hasard « les employeurs ne voulaient être que sur l’aérodrome ». Avec cette méthode, le maire pourra se targuer d’avoir voulu éradiquer le chômage avec des entreprises « virtuelles », et il trouvera bien un romillon ou une association « fautifs » pour dire que cela n’a pu se faire. Dans ce domaine encore, on ne peut pas attendre des miracles de mesures qu’on nous ressort depuis des lustres mais il faudrait innover, se mobiliser fortement pour obtenir du concret et être exigeant. Au 21ème siècle, avec tous les progrès, les connaissances et les moyens mis à disposition, il est consternant de voir que le droit à un travail décent et bien rémunéré est encore un luxe et non une réalité pour chacun.
Vie assiociative : les paroles et le concret
- M. Hosdez a indiqué les tarifs de locations de matériel (chaises, tables, podium, barrières…) applicables aux associations de Romilly ainsi que ceux pour la mise à disposition de 2 bus et 2 minibus : gratuité pour les AG des associations romillonnes, pour celles à caractère humanitaires, repas de quartiers, au personnel communal une fois par an, à la MEFER, à la ville de Nogent/Seine selon une convention ; 50% pour les associations « d’utilité » pour la ville ; plein tarif pour les autres.
Vie assiociative : les paroles et le concret
- M. Hosdez a indiqué les tarifs de locations de matériel (chaises, tables, podium, barrières…) applicables aux associations de Romilly ainsi que ceux pour la mise à disposition de 2 bus et 2 minibus : gratuité pour les AG des associations romillonnes, pour celles à caractère humanitaires, repas de quartiers, au personnel communal une fois par an, à la MEFER, à la ville de Nogent/Seine selon une convention ; 50% pour les associations « d’utilité » pour la ville ; plein tarif pour les autres.
- Comme l’a très bien démontré Rolande Barthélémy avec un exemple chiffré, le paiement des véhicules municipaux sera insupportable pour les associations sportives ou culturelles. Par contre, elle s’est dit ne pas être opposée, pour responsabiliser les demandeurs, au paiement d’un dépôt de garantie en cas de matériel dégradé ou disparu. Par son refus de revoir sa position, le maire s’est trouvé pris en flagrant délit. Entre les discours d’apaisement aux associations et les actes, il y a un monde. L’opposition a voté contre. Les associations, déjà bien mobilisées continueront, je pense, à tout faire pour préserver ce patrimoine associatif qui est une richesse pour Romilly.
Maison de la Justice et du Droit : la répression avant tout
- L’annonce par Denys Prieur du retrait des investissements prévus (3 600 000 €) pour la maison de la Justice et du Droit qui devait voir le jour en 2010 a fait vivement réagir l’opposition. Claude Maitrot devait notamment déclarer : « le maire préfère développer une politique sécuritaire, police municipale, caméras plutôt qu’une politique de prévention ». Refus de vote unanime de l'opposition sur la décision modificative du budget 2009.
Orientations budgétaires 2010 : autre question d’importance
- De l’intervention de Joë Triché, on pouvait notamment retenir que « les éléments communiqués dans le rapport font apparaître que le maire et sa majorité ont décidé, malgré les promesses électorales rappelées à chaque occasion, de stopper la baisse des impôts locaux ; on sera bien loin d’une diminution chiffrée à 4,5 millions d'€. Ainsi en 2010, du fait de la revalorisation des bases d’impositions les ménages paieront plus. Par contre, cela n’empêchera pas la ville de poursuivre son endettement. 4 millions d'€ d’impôts sont nécessaires pour le budget principal et 3,5 millions d'€ pour le budget annexe des activités économiques. 930 000 € seront aussi empruntés pour les budgets Eau/Assainissement » ; et l'élu communiste de préciser encore : « la mise en œuvre de ce budget ne permettra pas la réalisation de la Maison de la Justice et du Droit reportée aux calendes grecques ».
Maison de la Justice et du Droit : la répression avant tout
- L’annonce par Denys Prieur du retrait des investissements prévus (3 600 000 €) pour la maison de la Justice et du Droit qui devait voir le jour en 2010 a fait vivement réagir l’opposition. Claude Maitrot devait notamment déclarer : « le maire préfère développer une politique sécuritaire, police municipale, caméras plutôt qu’une politique de prévention ». Refus de vote unanime de l'opposition sur la décision modificative du budget 2009.
Orientations budgétaires 2010 : autre question d’importance
- De l’intervention de Joë Triché, on pouvait notamment retenir que « les éléments communiqués dans le rapport font apparaître que le maire et sa majorité ont décidé, malgré les promesses électorales rappelées à chaque occasion, de stopper la baisse des impôts locaux ; on sera bien loin d’une diminution chiffrée à 4,5 millions d'€. Ainsi en 2010, du fait de la revalorisation des bases d’impositions les ménages paieront plus. Par contre, cela n’empêchera pas la ville de poursuivre son endettement. 4 millions d'€ d’impôts sont nécessaires pour le budget principal et 3,5 millions d'€ pour le budget annexe des activités économiques. 930 000 € seront aussi empruntés pour les budgets Eau/Assainissement » ; et l'élu communiste de préciser encore : « la mise en œuvre de ce budget ne permettra pas la réalisation de la Maison de la Justice et du Droit reportée aux calendes grecques ».
- D’entrée de jeu, il a planté le décor en inscrivant la préparation de ce budget dans le cadre des réformes que veut imposer Sarkozy aux collectivités territoriales : suppression de la taxe professionnelle, entre autre : « avec cette suppression, la part des ménages représentera 75% du produit fiscal local, celle des entreprises sera de 25% alors qu’elle est actuellement de 50/50% ». Et de rappeler que « le maire, fidèle soutient du président de la République, faisait partie des 700 maires triés sur le volet pour participer à la rencontre qu’il avait organisée dans le but de dégonfler la grogne et colère générale des élus toutes tendances confondues ne dit mot sur les conséquences de la politique décidée par l’UMP pour les collectivités [...] rien n’est dit dans le rapport sur les conséquences de l’augmentation du chômage pour les communes avec une demande sociale plus forte [...] pas un mot non plus sur la baisse des compensations de l’Etat pour les exonérations fiscales qu’il accorde, ceci se traduisant par la baisse de recettes pour la commune [...] rien encore sur la baisse du complément de garantie. Il représente dans le budget de la ville 1,7 millions d'€, donc nouveau manque à gagner [ et aussi ] aucune observation sur la baisse de la dotation globale de fonctionnement attribuée par l’Etat limitée à 0,6% alors que l’inflation communale représente 2,6%, cela se traduisant par une baisse conséquente de pouvoir d’achat de la ville de Romilly ».
- Peut-être un peu agacé, le maire lançait à l’opposition : « on croirait entendre les descendants des Incas qui prévoyaient la fin du monde en 2012 » ; Joë Triché répliquant du tac-au-tac : « vous, vous vivez sur une autre planète en refusant de voir les réalités sociales : chômage, Restos du Cœur qui débordent et dossiers de surendettements qui explosent ! » Après être intervenu, chacun selon sa sensibilité, pas étonnant dans ces conditions qu’à l’unanimité les élus de l’opposition aient rejeté les orientations budgétaires du maire.
Autres questions traitées :
- Retrait des communes d’Origny-le-Sec et d’Orvilliers-Saint-Julien du syndicat intercommunal pour la gestion et la construction du nouveau CES de Romilly : vote pour.
- Mise en place d’un atelier Seniors : Rolande Barthélémy s’est étonnée : « il y a déjà des associations qui proposent ces services » ; Marie-Thérèse Lucas précisa : « il y avait des demandes et que cela n’entravera pas les autres associations »: vote pour.
- Retrait de la délibération portant cession de la parcelle BX n°21 : vote pour.
- Recensement de la population 2010 et tarification : 840 € par agent, 3 agents prévus, 120 € du kilométrage : vote pour.
- Admission en non-valeur de produits irrécouvrables sur le BP 2009 pour un montant de 2 283,93 € : vote pour.
- Attribution d’un premier acompte de 240 000 € au CCAS de Romilly pour l’exercice 2010 : vote pour.
- Subvention exceptionnelle pour le collège Langevin pour financer un voyage en Allemagne : vote pour.
- Participation aux dépenses de fonctionnement de l’école Saint-Anne, le forfait communal passe 350 € à 500 € soit une augmentation de 42% : vote contre.
- Création d’une fourrière municipale pour les véhicules. Prévue au départ pour enlever les épaves, aujourd’hui ce service se fait répressif et a pour but de lutter contre les stationnements « anarchiques » : vote contre.
- Association Radio Aube & Seine : versement d’un acompte : vote pour.
- Versement d’un acompte à l’association Romilly Handball : vote pour.
- Peut-être un peu agacé, le maire lançait à l’opposition : « on croirait entendre les descendants des Incas qui prévoyaient la fin du monde en 2012 » ; Joë Triché répliquant du tac-au-tac : « vous, vous vivez sur une autre planète en refusant de voir les réalités sociales : chômage, Restos du Cœur qui débordent et dossiers de surendettements qui explosent ! » Après être intervenu, chacun selon sa sensibilité, pas étonnant dans ces conditions qu’à l’unanimité les élus de l’opposition aient rejeté les orientations budgétaires du maire.
Autres questions traitées :
- Retrait des communes d’Origny-le-Sec et d’Orvilliers-Saint-Julien du syndicat intercommunal pour la gestion et la construction du nouveau CES de Romilly : vote pour.
- Mise en place d’un atelier Seniors : Rolande Barthélémy s’est étonnée : « il y a déjà des associations qui proposent ces services » ; Marie-Thérèse Lucas précisa : « il y avait des demandes et que cela n’entravera pas les autres associations »: vote pour.
- Retrait de la délibération portant cession de la parcelle BX n°21 : vote pour.
- Recensement de la population 2010 et tarification : 840 € par agent, 3 agents prévus, 120 € du kilométrage : vote pour.
- Admission en non-valeur de produits irrécouvrables sur le BP 2009 pour un montant de 2 283,93 € : vote pour.
- Attribution d’un premier acompte de 240 000 € au CCAS de Romilly pour l’exercice 2010 : vote pour.
- Subvention exceptionnelle pour le collège Langevin pour financer un voyage en Allemagne : vote pour.
- Participation aux dépenses de fonctionnement de l’école Saint-Anne, le forfait communal passe 350 € à 500 € soit une augmentation de 42% : vote contre.
- Création d’une fourrière municipale pour les véhicules. Prévue au départ pour enlever les épaves, aujourd’hui ce service se fait répressif et a pour but de lutter contre les stationnements « anarchiques » : vote contre.
- Association Radio Aube & Seine : versement d’un acompte : vote pour.
- Versement d’un acompte à l’association Romilly Handball : vote pour.
Ginette Triché
Compte-rendu du précédent Conseil municipal