20/04/2013

LE RS10 AU COEUR DU DEBAT MUNICIPAL


Lors du dernier conseil, le vote d'une subvention à la section équitation du RS10 en échange d'une activité pour des élèves de niveau élémentaire a provoqué un débat sur la situation du club.

- Cette subvention permet une amélioration de la situation financière alors qu'à ce jour, l'avenir même du club pourrait être remis en cause. Parmi les causes, le remboursement d'un emprunt pour la construction des bâtiments du cercle hippique. Rappelons que si celui-ci est supporté par le club, la structure sera entièrement propriété de la ville une fois payée.

- C'est pourquoi, Joë Triché a proposé la mise à l'étude d'une reprise de cette charge par la commune. Cette proposition, si elle suppose que la ville possède un nombre de garanties sur la gestion de la section, n'est en aucun cas une volonté de municipaliser le cercle hippique comme avancé trop hâtivement par certains. Pour le maire, cela n'est pas utile, le déficit actuel du RS10 n'est pas catastrophique et le travail de ses dirigeants doit permettre une restructuration salutaire. Selon lui, un cercle hippique bien géré peut être équilibré financièrement en multipliant les activités. Il s'est dit « très confiant dans le redressement de l'activité équitation ». Pourtant, comme l'a rappelé Rolande Barthélémy, le club va devoir ces prochains mois acheter une fumière et ainsi accentuer encore ses charges. Alors, comment sortir des problèmes financiers ?

31 commentaires:

Anonyme a dit…

Tout ce qui est proposé n'est pas mal. Mais comment plus largement sortir de la pétaudière sans lequel cette section se trouve ?

HIP, HIP, HIP... ??? a dit…

Voilà un texte étonnement évasif au regard de la situation où la gestion d'une section (mais sans doute aussi de la direction du RS10 qui devait être informée, à défaut de quoi, il y aurait déjà un premier problème) a conduit l'ensemble d'un club au bord de l'implosion.

Qui à l'origine a laissé faire le projet pharaonique du cercle hippique de la Béchère ? Dans quelles conditions ? Pourquoi cette section n'est-elle pas en mesure de rembourser l'emprunt ? Un plan de financement n'a-t-il pas été établi avant de le contracter ? Que se passe-t-il vraiment derrière tout cela ? On aimerait des réponses pour pouvoir juger en toute connaissance de cause. La colère des sportifs qui se dévouent bénévolement au sein du club est légitime face au mic-mac du cercle hippique.

Je ne vois pourquoi je devrais en plus payer avec mes impôts les pots cassés par une bande de dirigeants incapables comme le demande M. Triché.

Les "certains" qui avancent "hâtivement" une "volonté de municipaliser" en ont ras le pompon d'être pris pour des pompes à fric par la droite où par la gooooôche. Il n'y a qu'à fermer le fourbi à canassons et ouvrir une section pêche à la ligne. Affluence garantie aux 2 tours des prochaines municipales.

Anonyme a dit…

Tu l'a dit bouffi.
Il y a pas qu'au cercle hippique qu'on trouve des bourrins. Auzols vient de pointer le bout de son nez dans le canard et annonce qu'il y aura deux listes à gauche pour battre la droite ! Avec une 3ème liste ça serai plus sure et la droite sera archibattue !

Anonyme a dit…

Pourquoi cet équipement devrait-il ètre la propriéré du club Rs 10 alors qu'à Romilly tous équipements sportifs et culturels sont la propriété de la ville et mis à la disposition de la vie associative Si cela devait devenir le cas bonjours les dégats pour les milliers de pratiquants qui n'auraient plus qu'à galèrer dans la rue avec une bière et un clop.

Anonyme a dit…

Vuillemin vient de voter une subvention de 100 OOO euros à monlogis pour casser des logements que cette société n'a jamais entretenus depuis 1991 et alors qu'elle avait déjà bénéficié de 3millons d'euros de la ville
là aussi ce sont les impots des romilllons au bénéfice d' une société crée par le MEDEF aubois
Au moins avec le cercle hyppique il restera l'équipement neuf et cela peut permettre de sauver les autres sections du club

a chacun ses préférences

Anonyme a dit…

Si le RS-10 explose, c'est la ville qui s'est portée caution de la construction. Donc les élus ont intérêt à gérer le souci comme il se doit, sinon, le boomerang leur reviendra en pleine figure un moment ou un autre.

Anonyme a dit…

Si la ville est caution mieux vaut agir tout de suite avant que le RS 10 explose. Pensons aux pratiquants ;enfants,jeunes et moins jeunes.

Anonyme a dit…

C'est sans doute toute la philosophie de ce club qui est à remettre en débat.

Anonyme a dit…

Spanghero, l’une des entreprises à avoir fait passer du cheval pour du boeuf, prépare un plan social car, disent les patrons, les commandes ont chuté depuis l’éclatement du scandale.
Spanghero, et d’autres dans son ombre, ont engrangé des bénéfices tant que les pratiques douteuses du groupe ont pu fonctionner. Dès que cela n’est plus le cas, c’est aux travailleurs que l’on veut faire payer la note. C’est malheureusement trop classique. Mais il y a de quoi être révolté.

Anonyme a dit…

Au nom d’un « redressement intellectuel et moral du pays » (sic), Vincent Peillon, le ministre de l’Éducation, a annoncé l’introduction de cours de « morale laïque » du primaire au lycée, pour la rentrée 2015. Comme si la morale pouvait s’apprendre à l’école dans une société qui laisse de côté des millions de laissés pour compte au profit d’une minorité qui étale son argent et ne respecte même pas ses propres règles, comme l’a illustré la récente affaire Cahuzac !
La jeunesse n’a pas besoin de professeurs de morale !
Elle a besoin qu’on lui propose un avenir à l’opposé de ce que lui offre le capitalisme. Et d’autres choix que celui qui consiste à alterner la misère un jour, et l’exploitation un autre.

Anonyme a dit…

Les manifestations contre le mariage homosexuel sont un prétexte et un moyen pour les organisations d’extrême droite de battre le pavé, de s’entraîner et de se montrer au grand jour. Dans la manifestation de dimanche, on a vu Collard, député du FN, au coude à coude avec des élus de droite dite « républicaine ». Cela annonce peut-être d’autres rapprochements.
Face à ces manifestations réactionnaires, les travailleurs doivent mener leur propre politique et se préparer à intervenir sur leur terrain, le terrain de classe, contre toutes les attaques menées de conserve par patronat et le gouvernement.

Anonyme a dit…

Lakshmi Mittal, patron du numéro 1 mondial de l’acier, a prétendu hier « regretter la fermeture des hauts-fourneaux de Florange »… tout en la justifiant. Il ajoute que les salaires en France sont supérieurs de 20% à ceux pratiqués en Espagne, laissant clairement entendre qu’il veut s’y attaquer. Avec sa seule fortune personnelle estimée entre 20 et 30 milliards de dollars, il y aurait pourtant de quoi maintenir l’emploi et augmenter largement les salaires de tous les salariés du groupe.

Anonyme a dit…

Le gouvernement prépare une hausse des tarifs du diesel, en augmentant les taxes sur ce carburant. À la grande satisfaction des Verts, et au nom de l’égalité de taxation avec l’essence ainsi que du projet écologique ! La seule chose qui se discute encore, c’est, semble-t-il, la date à laquelle cette nouvelle ponction nous sera imposée.
Pour nous faire les poches et les réservoirs, tous les prétextes sont bons.

Lu pour vous a dit…

Partout où il a été aux affaires, les “affaires” ont suivi le FN. À la tête de ce parti, la famille richissime des Le Pen. Pierre Poujade, pourtant ancien mentor du père, le définissait comme un individu“amoral”.

Les deux pattes dans le fumier de l’affaire Cahuzac, la poule du FN s’égosille. Pourtant, elle a pondu bien des oeufs pourris. Toulon : le chef de cabinet du maire frontiste (1995 - 2001), J.-M. Le Chevalier a été impliqué dans un “système communal organisé”, monnayant les embaûches par la mairie. Tarif : 30 000 francs, “en petites coupures”, pour un poste administratif. Rebelote à Toulon avec un détournement des fonds du service jeunesse. Et dix de der à Orange, avec le secrétaire général de mairie, F.-N. Schmitt, le bien prénommé, mis en examen en 1997 pour prise illégale d’intérêts dans des opérations de l’office d’HLM de la ville... qu’il dirigeait ; la Chambre régionale des comptes relevant l’attribution de “primes indûes au directeur”. Voilà pour quelques sous-fifres. En 2010, Patrick Bourson, originaire de Troyes, pilier du sérail extrême droitier et propriétaire d’une maison de Champagne, où Le Pen avait été associé, à partir de 2003, à 50%, évoquait sur le site web Novopress des « manipulations financières », ajoutant « que beaucoup de ses dirigeants [du FN - ndlr] étaient là pour la “bouffe”, c’est-à-dire tirer un pur profit personnel de leur action politique ». L’exemple vient du sommet. Chez les Le Pen, la fortune est au cul des corbillards. Il y eut le testament du cimentier Lambert faisant tomber dans l’escarcelle le manoir de Saint-Cloud estimé en 2007 à 6,5 millions d’euros. D’autres “donations” ont très opportunément étoffé leur bas de laine. Vis-à-vis du fisc, Le Pen n’est ni blanc, ni bleu, mais dans le rouge ! En 1992, redressement fiscal de 847 636 F. Fin 2005, le Conseil d’état juge Le Pen coupable de détournements fiscaux et de mauvaise foi, mais Bercy efface en juin 2006 une ardoise de 750 000 euros ! Dissimulation de gains en Bourse (754 000 F entre 1979 et 1980), SCI permettant de se louer un bien qui lui appartient et de réduire le montant de l’ISF, dépôt de dons en liquide de militants sur son compte personnel pour un montant de près de six cent mille francs (1979-1980)... l’arsenal de la délinquance en col blanc n’a aucun secret au FN. Sa prétendue fibre sociale s’arrête au portail d’entrée du domaine de Montretout, là où les “maîtres” tombent les masques.

Anonyme a dit…

Malgré le vote positif au Sénat, le gouvernement sous pression se prononce contre la loi, proposée par le Front de gauche, dite d’amnistie sociale. C’est le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies, qui l’a annoncé : "Le gouvernement manifestera son opposition claire et ferme à toute forme d'amnistie".

Anonyme a dit…

Les chiffres du chômage viennent de tomber. Ils sont hélas sans surprise pour ce 24ème mois continu : toujours plus de demandeurs d’emploi et aucune embellie ne se profile à l’horizon ! Ainsi la courbe déjà bien vertigineuse fait apparaître le chiffre de 3 224 600 demandeurs d’emploi dans notre pays, avec 1,2% d’augmentation sur le mois.

Comme toujours, les plus fragiles paient cher l’addition. Le chômage des jeunes représente à lui seul 24,19% de l’effectif des demandeurs d’emploi. Les timides mesures censées favoriser leur emploi, ne démontre pas leur efficacité. Les emplois d’avenir peinent à exister dans le secteur non marchand. Les aides aux entreprises concluant des contrats de génération n’ont pour effet que l’aubaine d’une main d’œuvre bon marché. Le chômage des Femmes (qui sont déjà lourdement frappées par le temps partiel subi) et des seniors demeurent lui aussi très inquiétant

Anonyme a dit…

Les fermetures de sites envoient chaque mois des salariés à Pôle emploi. Elles sont à cumuler avec la fin des CDD, la fin des missions d’intérim ainsi que les ruptures conventionnelles.

Le non renouvellement des contrats à durée déterminée (CDD) et la fin des missions d’intérim pèsent de manière significative sur l’envolée du chômage constituant ainsi plus de 50% des demandeurs d’emploi

Anonyme a dit…

Malheureusement, il y a fort à parier que la situation ne va pas s’améliorer. La loi faussement appelée « sécurisation de l’emploi » votée le 16 avril dernier, ne vise nullement la création d’emplois. Pire, elle va fragiliser ceux qui ont un emploi aujourd’hui en flexibilisant davantage le statut du contrat de travail et son contenu. Le tout aboutira à une véritable insécurité pour tous les salariés nouvellement amputés de nombreux droits.

Anonyme a dit…

Pendant ce temps, rien n’est fait pour s’attaquer aux causes réelles du chômage. Le manque d’ambition de politique industrielle, seule capable de relancer l’activité économique constitue un frein majeur aux politiques publiques.

Nous avons au contraire besoin d’un Etat stratège qui définisse les priorités, qui cesse de faire des cadeaux au Medef et qui impulse, y compris au niveau européen, une politique dynamique tournée vers la croissance et vers l’emploi.

Anonyme a dit…

A Romilly, 1650 chômeurs étaient recensés fin 2012, plus aujourd'hui sans doute. Le bilan de Vuillemin est un désastre, pourtant, il avait promis 150 emplois chaque année

Anonyme a dit…

Déjà, le 1er mai journée internationale du travail, les salariés et retraités doivent pouvoir se faire entendre, pour le progrès social, contre l’austérité et pour l’emploi. Rendez-vous à la bourse du travail de Romilly à 10 h 30

Jean-Pierre a dit…

Excellente prestation de Pierre Mathieu ce midi sur France3 Champagne-Ardenne. Je ne le connaissais pas mais franchement cela donne envie de voter pour lui

Anonyme a dit…

Bien mieux que Mélenchon jeudi soir sur France 2

Anonyme a dit…

Comme à peu près chaque mois depuis 2008, le nombre de chômeurs a encore augmenté en mars, à raison de 1 000 chômeurs de plus chaque jour.
Mais le gouvernement essaie de minimiser ce fait, en disant qu’après tout « le taux de chômage (10,2 % de la population active fin 2012), reste inférieur au record de 1997 (10,8 %) ». Et il continue de promettre que la courbe du chômage s’inversera grâce aux mesures qu’il a prises et dont les effets ne seront visibles dans les mois à venir. Facile !
On a du mal à le croire, d’autant que ces mesures consistent à faciliter les licenciements et à augmenter la précarité. Cela participera sans nul doute à l’augmentation des profits, mais pas à réduire le chômage.

Anonyme a dit…

Dans le secteur semi-public et public, une pratique se développe : se séparer des travailleurs qui sont en contrat à durée déterminée pour prendre, à leur place, des salariés sous contrats d’avenir qui sont subventionnés à 75%.
En quoi ça diminue le nombre de chômeurs ? Mystère. Romilly en est un bel exemple

Anonyme a dit…

L’État s’apprête à renouveler les concessions des autoroutes aux trusts Vinci, Eiffage et Abertis. Ces entreprises accepteraient de prendre en charge une partie des travaux sur le réseau autoroutier, à condition que la durée de la concession soit allongée, afin d’engranger des milliards d’euros supplémentaires !
En route pour de nouvelles récoltes de profits pour ces géants du BTP.
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Anonyme a dit…

L’Insee révèle ce que nous voyons : avec la crise, il y a de plus en plus de pauvres (440 000 de plus que l’an passé) et seuls les 5% les plus riches ont vu leur magot s’améliorer.
La richesse des uns se nourrit de la pauvreté des autres. Cette situation n’a que trop duré !

Anonyme a dit…

Une étude de Que choisir dénonce l’opacité tarifaire des opticiens, qui leur assure des marges allant jusqu’à 300% sur une paire de lunettes. Certes, les opticiens ne sont pas les plus gros gagnants dans ces opérations, comparé à ce qu’empochent des fabricants comme Essilor et d’autres.
Mais les consommateurs gagneraient à la levée du secret commercial, dans cette branche comme dans toutes les autres

Anonyme a dit…

Spanghero, l’une des entreprises à avoir fait passer du cheval pour du boeuf, prépare un plan social car, disent les patrons, les commandes ont chuté depuis l’éclatement du scandale.
Spanghero, et d’autres dans son ombre, ont engrangé des bénéfices tant que les pratiques douteuses du groupe ont pu fonctionner. Dès que cela n’est plus le cas, c’est aux travailleurs que l’on veut faire payer la note. C’est malheureusement trop classique. Mais il y a de quoi être révolté.

Anonyme a dit…

@ 10:15 c'est vrai
il devrait mettre aussi son commentaire sur le site de l'est eclair dans l'article de la signature des contrat d'avenir

Anonyme a dit…

non pas 10:15 mais 10:14