25/11/2016

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18 commentaires:

Anonyme a dit…

François Fillon promet de réduire le déficit de la France grâce à une réduction de quelque 100 milliards d’euros des dépenses publiques et de les faire passer de 57 % à quelque 50 % du PIB pour ainsi ramener le budget à l’équilibre.

Dans son programme, il évoque cinq engagements pour assainir les finances dont la réduction de 500 000 postes dans la fonction publique, la réforme du cadre d’action des collectivités territoriales, porter l’âge de la retraite à 65 ans. Les économies réalisées seraient obtenues environ pour moitié par les actions sur l’État et les collectivités territoriales, et pour moitié sur la sphère sociale (dont 20 milliards d’euros par la réforme de la retraite).

Anonyme a dit…

De son côté, Alain Juppé propose des économies possibles dans une fourchette de 85 à 100 milliards d’euros le temps du quinquennat. Les baisses de dépenses passeront aussi par une coupe dans les effectifs de la fonction publique dans une limite de 250 000 à 300 000 postes. La mesure, avec entre autres un allongement du temps de travail, permettrait une dizaine de milliards d’euros d’économies.

Parmi les autres pistes, le programme d’Alain Juppé propose aussi un passage de la retraite à 65 ans (20 milliards d’euros d’économies sur les cinq ans du mandat), la révision du périmètre de l’intervention de l’État (10 milliards d’euros), la réforme de l’assurance-chômage pour un retour à l’équilibre (5 milliards d’euros) ou encore la lutte contre « la fraude et les abus du système social » (7 milliards d’euros).

Anonyme a dit…

Concernant le temps de travail, François Fillon veut faire repasser les 2 millions de fonctionnaires territoriaux de 35 à 39 heures, ce qui permettrait selon lui de "récupérer" l’équivalent du temps de travail d’une grande partie des 500.000 postes qu’il veut voir disparaître.

Alain Juppé propose de négocier une hausse du temps de travail sans plus de détail.

Anonyme a dit…

Les communistes soutiendront-ils la candidature de Jean-Luc Mélenchon ou partiront-ils en solo pour la présidentielle de 2017 ? La base militante est appelée à se prononcer du 24 au 26 novembre. D'ici là, plusieurs dirigeants du PCF sortent du bois et tentent de peser pour un soutien au candidat de la France insoumise.

Anonyme a dit…

De son côté, Marie-George Buffet, qui a précédé Pierre Laurent à la tête du parti et candidate malheureuse à la présidentielle de 2007 - elle avait recueilli 1,93 % des voix - défend depuis plusieurs mois un soutien sans faille au candidat de la France insoumise. Dimanche sur sa page Facebook, en réaction au résultat du premier tour de la primaire à droite, elle a rappelé cette position. Fustigeant "le scénario que nous vendent tous les médias ce soir", qui serait que "l'élection présidentielle est jouée" avec un "candidat majoritaire de la primaire de la droite" déjà "élu", elle affirme que contre "le bipartisme pour l'alternance des serviteurs du libéralisme s'installe dans une couverture médiatique complaisante", il ne reste qu'une seule option :

se mobiliser "pour une vraie échappatoire à ce piège, pour une alternative de gauche avec la candidature de Jean-Luc Mélenchon."

Anonyme a dit…

Le secrétaire national du Parti communiste français (PCF), Pierre Laurent, a répété, vendredi 18 novembre, qu’il était favorable à un soutien de sa formation à la candidature de Jean-Luc Mélenchon à la présidentielle, tout en promettant de se ranger au vote des militants, quel qu’il soit.
« Les communistes vont choisir, librement. Et leur choix majoritaire sera dès lors notre choix commun », a assuré le chef du PCF dans un billet de blog dans lequel il fait, en outre, état d’une « intense discussion » chez les militants communistes sur le choix pour la présidentielle. « Je serai demain au service de notre unité, sans laquelle rien ne sera possible », a-t-il encore promis.

Anonyme a dit…

Tout en rappelant qu’il expose « loyalement et sincèrement » son avis sur la question, M. Laurent estime que le soutien à M. Mélenchon, qui s’est lancé contre l’avis des communistes dans la bataille présidentielle dès février, serait l’option « la mieux à même de nous mettre en position de jouer notre rôle : être un maillon fort au service du rassemblement, une force visible, utile pour gagner les constructions majoritaires indispensables ». Et de poursuivre son argumentaire :
« Face au paysage, plein de dangers, qui se met en place, je conçois l’appel à voter Jean-Luc Mélenchon non pas comme un aboutissement de nos efforts, mais comme un levier, un appel pour pousser plus loin le travail de rassemblement vers un front social, politique et citoyen. »

Triche Ginette a dit…

petit rappel: Ambroise Croizat homme politique, parti communiste, fondateur de la sécurité sociale. Il fut aussi secrétaire général des travailleurs de la métallurgie CGT. Ministre du Travail et de la sécurité sociale de 1945 à 1947.Il est mort d'épuisement d'un cancer du poumon le 11 février 1951 à 50ans.

Dans son dernier discours à la tribune de l'Assemblée Nationale en octobre 1950 il déclarait " Jamais nous ne tolérerons que soit renié un seul des avantages de la sécurité sociale. Nous défendrons à en mourir et avec la dernière énergie cette loi humaine et de progrès"

Aujourd'hui gravement menacée c'est aux citoyens de relevé ce défi avec UN PARTI COMMUNISTE PLUS VISIBLE ET PLUS DETERMINE QUE JAMAIS.

Anonyme a dit…

Est ce que c'est en s'isolant que le PCF sera plus visible et plus combatif que jamais ?
Le Front de gauche a créé une formidable dynamique et un espoir perdu depuis fort longtemps en 2012.
Le voir s'émietter est terrible pour ses partisans et TOUS les partis qui le composaient en sont responsables.
L'esprit partisan supplée l'intérêt général et cela éloigne un peu plus les gens de la vraie gauche de la politique par écœurement.
Maintenant quand je vois que chez vous à Romilly les communistes se battent contre les impôts, Mathieu et Bouteiller pour défendre le service public ferroviaire et postal, les associations, dénoncer les diverses hausses et autres au conseil municipal, c'est vrai que ce pays a besoin d'un PC fort pour lutter contre le péril libéral

Anonyme a dit…

"LE front de gauche a créé une formidable dynamique', 7H24,c'est vrai! mais qui l'a sabordé? J L MELANCHON parce qu'il n'a pas réussi a faire du FdG un parti politique avec adhérents , carte ,cotisations. CE qui aurait conduit le pcf à disparaître. Comme il n'a pas réussi il créé La France Insoumise pour avoir des militants pour sa campagne et faire de FI un parti après les élections Concernant la sécurité sociale il faut regarder TOUS les programmes avec attention; même celui de JL MELANCHON. ON peut en y lire que son financement sera notamment assuré par la fusion de la CSG et L'impôt sur le revenu. Ce ne sera donc plus la cotisation prélevée sur la richesse créée par le travail qui continuera de financer la sécu comme depuis 1946 mais l'impôt payer par les contribuables . ON est très loin des principes qui ont prévalus a la création du régime général de la sécu d'Ambroise Croizat Ministre communiste et Secrétaire général de la fédération CGT des métaux. Joé Triché

Anonyme a dit…

Le pauvre Joë hait Mélenchon jusqu'à ne plus savoir écrire son nom.
Dans ses lignes, on ressent l'aigreur de la défaite électorale orchestrée par les propres camarades communistes lors du vote d'hier.
Doit-on croire que l'esprit partisan est supérieur à celui de la population, on pourrait le croire au regard des lignes ci-dessus.
Qui saborda le FRONT DE GAUCHE ?
Mélenchon qui a voulu le transformer en Parti politique (?), le sectarisme politique de certains, la volonté de maintenir quelques élus supplémentaires ici ou là en courant derrière un Ps plus à droite qu'à gauche pour d'autres ? Le débat reste ouvert...
Concernant votre conclusion, je n'ai pas toutes les informations mais quoiqu'il en soit, il n'est pas question de soutenir un candidat les yeux fermés et sans un minimum de recul, ce serait ne pas tenir compte de l'expérience du passé.
Il reste à mener une campagne électorale sur des vraies valeurs et de mettre le curseur de la vraie gauche le plus haut possible au soir du premier tour de la présidentielle.
Pour cela il est nécessaire que toute la gauche du PS se retrouve derrière un même candidat

Triche Ginette a dit…

@ 8:44
Quelques remarques

"défaite électorale" c'est déjà là le signe d'un esprit malsain me semble -t-il; Il ne s'agissait pas d'un vote entre adversaires mais du vote des communistes pour le choix d'une stratégie pour laquelle on ne saura si elle est la bonne seulement quand on constatera les résultats

"l'esprit partisan supérieur à celui de la population?" c'est la formule toute faite souvent utilisée par des gens méprisants ou ignorants de l'expérience du passé.

le parti communiste et ses militants, au national comme au niveau local, ont largement démontrés leur engagement dans les conquêtes sociales qui bénéficient à l'ensemble de la population , pour les rassemblements dans les luttes et dans les élections.

L'expérience montre que pour avancer, il faut un parti communiste influent et des militants combatifs

Mon expérience m'amène à penser que pour réussir à vraiment aller vers une société plus juste et tournée vers le progrès sociale, environnementale et sociétale, il faut un projet qui en finisse avec ce système qui enferment les citoyens dans la dictature de l'argent roi et en finir avec la possession de tous les pouvoirs des exploiteurs dans le domaine économique sinon les promesses ne seront pas tenues

Mon expérience m'amène à penser que les grands discours , les slogans
porteurs, les qualités d'orateur d'un homme, même s'ils sont utiles ne suffissent pas pour réussir. Il faut une réelle adhésion consciente au projet et des luttes en soutien

Et enfin si on veut être utile dans le débat, ne restons pas dans la clandestinité(anonyme) chacun a le droit de penser ce qu'il veut. Reste à confronter à la réalité et aux expériences


Anonyme a dit…

Romilly va accueillir un candidat aux présidentielles 2017 ... pas moins!

Programme de Bastien FAUDOT:
Mardi 29 visites de deux Mairies et d'une entreprise de Villenauxe et pour Romilly, visite du centre-ville de Romilly et les drapeaux aux fenetres, puis entretiens avec des médecins romillons et réunion publique à Ambroise CROIZAT, en fin de journée.
pour finir un pot d´amitié avec les copains du FN et de la CGT a l´Espace Ambroise Croizat…
Mercredi 30, déplacement à Buchères, cité martyre de la "barbarie teutonne", avec hommage aux 68 victimes de la 51ème Brigade des waffen-ss (10 enfants de moins de 10 ans, 5 personnes de plus de 70 ans, 35 femmes et des bébés de 18, 11, et 6 mois).

Anonyme a dit…

8h44 semble avoir choisi MELENCHON en ne connaissement pas exactement ce qu'il propose . Cela ressemble à de l'aveuglement.

Réponse au camarade Joë a dit…

Le point avancé par Joë Triché sur la question de la CSG et de l’impôt sur le revenu est un procès qui atteint des sommets. Notre «économiste» semblent oublier que la CSG est un impôt affecté et non pas une cotisation. L’Humain d’abord défendait en effet la suppression de la CSG (90 mds de financement de l’assurance maladie) mais en créant une nouvelle cotisation sur les revenus financiers. Sans aller plus loin dans la précision. Mais comment taxer les revenus financiers si ce n’est en imposant les revenus du capital comme ceux du travail (revendication historique syndicale, socialiste et communiste) ? Et pour cela, le seul moyen crédible et cohérent est de l’asseoir sur une assiette large et avec un barème progressif. C’est en ce sens que l’Avenir en commun prolonge l’Humain d’abord et défend l’héritage d’Ambroise Croizat. À moins que Joë veuille faire remplacer du jour au lendemain les 90 mds de ressources affectées à la Sécurité sociale par un prélèvement incertain, fluctuant et soumis sans doute à des fraudes massives, ce projet préfère constitutionnaliser l’affectation des ressources distinctes de la Sécurité sociale. Il s’agit de garantir juridiquement par une loi organique la coexistence de deux prélèvements, une contribution sociale et une contribution fiscale, tous deux assis sur une même assiette (chaque tranche d’imposition pourrait être composée de deux taux : une tranche de revenu au taux global de 10% serait par exemple constituée en réalité de 5% de contribution sociale et de 5% de contribution fiscale). Une telle contribution citoyenne, déclarative, redonnerait également du sens au consentement à l'impôt, l'un des enjeux majeurs de la période.

Anonyme a dit…

SECU: Poursuivons le débat. Pour soigner le mal dont souffre notre sécurité sociale il est nécessaire de bien diagnostiquer les origines du mal. IL y en a au moins quatre. D'abord le chômage qui la prive de milliards d'euros de cotisations sociales tout comme la faiblesse des salaires et des revenus. Les exonérations de cotisations patronales; une quarantaine de milliards d'euros par an; décidées par les gouvernements sans que cela ne crée le moindre emploi. D'ailleurs l'objectif inavoué de ces cadeaux c'est le soutien aux profits et pas du tout l'emploi. Le scandale des groupes pharmaceutiques qui réalisent des profits faramineux sur le dos de la sécu par le biais du remboursement des médicaments. Pour revenir à une sécu qui joue pleinement son rôle il est nécessaire de s'attaquer à ces problème qui gangrènent toute notre société. Il faut revenir aux principes qui ont prévalu au moment de la création du régime général de sécurité sociale par A CROIZAT: Un financement assuré par un prélèvement sur la richesse créée par le travail(cotisations sociales), payer selon ses moyens et recevoir selon ses besoins; un principe pleinement communiste. Donc augmenter les salaires et développer l' emploi c'est bon pour la sécu. Supprimer les exonérations de cotisations patronales et mettre une cotisation sur les revenus financiers des entreprises et des banques au même niveau que les salaires lui assurerait des recettes considérables. D'autre part une véritable transparence sur la formation des prix des médicaments est nécessaire. Pour cela un pole public du médicament est à créer. Concernant la fusion de la CSG de Rocard avec l'impôt sur le revenu; cette démarche a été largement engagée par SARKOSY puis HOLLANDE. En s'engeant dans cette voie JL MELENCHON s'éloigne considérablement du programme de L'HUMAIN D'ABORD de la présidentielle de 2012 ou il est écrit/ " Loin de toute fusion entre CSG et l'impôt sur le revenu, nous mettrons en place une nouvelle cotisation sociale sur les revenus financiers afin d'aller vers la suppression de la CSG et l'extinction de toute fiscalisation de la protection sociale". C'est clair et cela reste pleinement d' actualité. JOE TRICHE

Anonyme a dit…

Selon la Commission de régulation de l’énergie (CRE), au 1er décembre 2016, les tarifs réglementés de vente hors taxes pratiqués par ENGIE augmentent en moyenne de 2,6 % par rapport au barème en vigueur en novembre 2016.

Cette hausse est de 0,9 % pour ceux qui utilisent le gaz pour la cuisson, de 1,6 % pour ceux qui ont un double usage cuisson et eau chaude et de 2,6 % pour les foyers qui se chauffent au gaz.

Depuis le 1er janvier 2015, les tarifs réglementés de vente de gaz ont en moyenne baissé de 14,0 %.

Anonyme a dit…

Nous pouvons tous nous apercevoir, quand le baril de pétrole baisse le prix du gaz ne baisse pas, quand le baril de pétrole monte le prix du gaz monte
c'est normal avec les socialistes en été le gaz baisse à grand fracas de médias parce que les gens n'en consomment pas et en hiver ça augmente discrètement parce que les gens en consomment plus...faut il rappeler par exemple que depuis l'avènement du président normal en cinq ans ma retraite a augmenté de 0,1%...
elle est pas belle la solidarité socialiste....