06/10/2017

LES DÉPUTES COMMUNISTES NE LAISSERONT PAS DÉTRUIRE LA SÉCURITÉ SOCIALE SOLIDAIRE

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a dévoilé, le 28 septembre dernier, le projet de budget 2018 pour la Sécurité sociale.

Ce budget, placé sous le sceau de l’austérité, constituerait l’acte I d’un démantèlement de notre système de Sécurité sociale. L’abandon progressif du financement par la cotisation sociale au profit d’une hausse de la CSG marque l’ambition de mettre fin à notre modèle social solidaire et collectif.
Obnubilé par sa volonté de compression et de privatisation des dépenses de santé utiles, le gouvernement prévoit également 4,2 milliards d’euros d’économies sur l’Assurance Maladie, au détriment de la réponse aux besoins de santé de nos concitoyens. Nos hôpitaux, déjà exsangues, seront quant à eux mis à contribution à hauteur de 1,5 milliard d’euros après des coupes budgétaires sans précédent ces trois dernières années.

Ce n’est pourtant pas l’argent qui manque pour rétablir les comptes sociaux. Plutôt que d’augmenter injustement le forfait hospitalier, interrogeons-nous sur les 44,5 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales liées aux politiques de baisse du prétendu "coût du travail". Les députés communistes combattront ces orientations qui ne feront que renforcer la fracture sanitaire et sociale. Nous ne laisserons pas détruire la Sécurité sociale solidaire.

16 commentaires:

Anonyme a dit…

LES 11 DÉPUTES COMMUNISTES NE LAISSERONT PAS DÉTRUIRE LA SÉCURITÉ SOCIALE SOLIDAIRE.... les 11 députes....LOLLLLLLLLLLLLLL

Anonyme a dit…

C'était la fiente du week-end de notre Fn local patenté... ça vole haut !

Anonyme a dit…

Une salariée de 50 ans est convoquée par la Direction de la
CPAM 94 le 9 octobre en dehors des dispositions conventionnelles
article 48.
Un licenciement pour insuffisance professionnelle est envisagée à
son encontre sans avoir commis de faute.
Cet évènement arrive dans le contexte des ordonnances Macron et
futurs décrets d’application qui visent à faciliter les licenciements
abusifs.
La Fédération Nationale CGT des Personnels des Organismes
Sociaux demande à la direction d’arrêter immédiatement la
procédure.
Elle appelle l’ensemble de ses syndicats à signer massivement la
pétition ci-jointe, et à adresser des motions de soutien.
Elle invite les syndicats de l’Ile de France à être présent nombreux
et à soutenir la collègue lundi 9 octobre à 14 h jour où elle est reçue
par la direction.
CPAM 94 immeubles B2 1 à 9 avenue de le Général de Gaulle à
Créteil

Anonyme a dit…

La protection sociale française (notamment son pilier fondamental, la Sécurité sociale) a permis des progrès considérables sur la qualité, la sécurité et l’espérance de vie. Malheureusement, elle fait aujourd’hui l’objet d’attaques répétées de la part des gouvernements qui se sont récemment succédé.
Face à cette situation, la CGT entend mener une reconquête de la protection sociale, pour transmettre aux générations futures ce qui reste encore aujourd’hui une référence dans le monde entier.

Anonyme a dit…

La Protection Sociale vise à protéger les personnes des évolutions et des aléas
de la vie : maternité, à la paternité, à l’entretien et l’éducation des enfants,
retraite, maladie, accident de travail, invalidité, handicap, chômage.
Elle doit reposer sur la Sécurité sociale avec pour principe « chacun cotise selon ses moyens et reçoit selon ses besoins ».

Anonyme a dit…

La cotisation sociale généralisée (CSG) est une contribution sociale crée en 1990 pour « diversifier », mais aussi pour fiscaliser (passer de la cotisation à l’impôt) les sources de financement de la Sécurité sociale. Elle est prélevée directement sur les revenus du travail et du patrimoine des particuliers. Il est utile de rappeler que sa mise en place a été adoptée elle aussi au 49.3...

Anonyme a dit…

Avec le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2018, le gouvernement a bien l’intention de donner un coup fatal aux retraites et à la Sécurité sociale en voulant supprimer dès 2018, les cotisations sociales pour une fiscalisation injuste et inefficace qu’est la CSG. Celle-ci va toucher en premier lieu les plus faibles revenus, puisqu’il s’agit de ponctionner les pensions des retraité-e-s à partir de 1200 euros mensuels.

Anonyme a dit…

Quant à la santé, ce gouvernement va poursuivre la stratégie des Lois HPST de Bachelot et Santé de Touraine, restructurant d’une manière drastique l’Hôpital public au profit du privé. Avec un objectif national des dépenses d'assurance maladie (Ondam) à 2,3% en 2018, avec 4,2 milliards d'euros d'économies sur l'assurance maladie, après les plus de 10 milliards d'euros du gouvernement précédent, la ministre ne va pas contraindre les dépenses de l’Assurance maladie, elle va continuer à restreindre l’accès aux soins, à maltraiter usagers et personnels des hôpitaux publics, puisque selon le ministère lui-même la progression naturelle des dépenses est évaluée par l'exécutif à + 4,5%. Des mesures qui ont pour conséquence la fermetures de lits par centaines et de structures ambulatoires (CMP, CATTP,...) en psychiatrie, retards de prises en charge, embouteillages aux urgences...

Anonyme a dit…

Agnès Buzyn a par ailleurs confirmé une hausse du forfait hospitalier, sans aucune concertation. Celle-ci serait de 2 euros pour le tarif journalier en médecine, chirurgie, obstétrique (MCO) et en soins de suite et réadaptation (SSR) (soit 20 euros contre 18 euros actuellement), tandis que celui de psychiatrie progresserait de 1,50 euro (soit 15 euros contre 13,50 euros). Dénonçons et combattrons cette mesure injuste qui va surtout peser sur les plus pauvres, les plus fragiles (jeunes, retraité-e-s, chômeurs, travailleurs indépendants…) mais aussi toutes celles et ceux pour qui le coût de cette complémentaire représente déjà une charge importante dans leurs revenus… au point de l’abandonner dans certains cas. Oubliées les belles promesses du candidat Macron qui s’était pourtant engagé dans la lutte contre les inégalités d’accès aux soins, notamment sur le dentaire, l’optique et l’audioprothèse.

Anonyme a dit…

C’est donc maintenant au Parlement comme dans la rue que le débat devra avoir lieu pour faire reculer ces projets de déstructuration de notre Sécu comme de notre système de santé, alors que se préparent les Plans régionaux de santé en toute opacité.

Anonyme a dit…

les 8 pamphlets du 11h52 - 12h52, LOL. Sous oxygène idéologique communiste! Faut le faire

Anonyme a dit…

La promenade au village gourmand ne semble pas avoir fait retrouver ses esprits au nigaud du Fn... l'abus de planteur ?

Anonyme a dit…

Des membres du collectif « Vive l’APL » : la Confédération générale du logement (CGL), la CLCV (Consommation, logement et cadre de vie), la confédération nationale du logement (CNL), l’association Droit au logement (DAL), la Fédération des acteurs de la solidarité, la Fondation Abbé Pierre, SNUP Habitat (FSU), le collectif Pas Sans Nous, l’Union nationale des étudiants de France (UNEF) et l’Union sociale pour l’habitat (USH). et une vingtaine de bénéficiaires ont saisi le Conseil d’Etat pour faire annuler les textes prévoyant la réduction des aides personnelles au logement et, dans l’immédiat, obtenir la suspension de leur application.

Anonyme a dit…

Les masques tombent. Macron va faire pire que Sarkozy. Il va distribuer 15 milliards d'euros aux riches pendant qu'il agresse le peuple par des mesures anti-sociales.

La France insoumise lance donc une campagne sur ce sujet et pour faire connaitre nos contre-propositions. Elle aboutira notamment sur la présentation d'un contre-budget à la fin du mois.

Anonyme a dit…

Le Président de la République a annoncé mercredi 11 octobre à Rungis, une série de propositions destinée au monde agricole et agroalimentaire.
L'ambition est juste d'instaurer une police des prix entre les producteurs, transformateurs et distributeurs notamment. A y regarder de plus près, Emmanuel Macron a en quelque sorte annoncé du libéralisme par ordonnance, lors de ce point d'étape des États Généraux de l'alimentation.
En effet, derrière ses propos « d'arrêter les productions qui ne marchent pas… ne s'inscrivant pas dans la concurrence internationale, de conditionner les aides à la taille des organisations de producteurs, de restructuration, de produire plus… », le président actualise les vieilles recettes libérales qui ont conduit un agriculteur sur trois à vivre avec moins de 350 euros par mois, ainsi que la disparition d'une ferme toutes les cinq minutes jusqu'au suicide agricole tout les deux jours.

Anonyme a dit…

disparition d'une ferme toutes les cinq minutes, donc 1440 Fermes par jour X 365 jours = 525 600 par an....le 15/10/2017 07:16..il fume quoi comme herbe ???? si non stop a la picolade...