26/02/2015

IL FAUT SOUTENIR LES ASSOCIATIONS ROMILLONNES

Notre ville a besoin d'un projet global de cohésion sociale qui nécessite des programmes d'actions sur l'emploi, le développement économique, l'animation de la ville, la réussite éducative, la citoyenneté, la prévention de la délinquance, la santé, la lutte contre la discrimination sous toutes ses formes, l'accompagnement de tous, notamment la jeunesse.

- Il y a moins d'un an Eric Vuillemin promettait « de faire encore plus pour notre jeunesse sans oublier les besoins des anciens », « soutenir et accompagner financièrement les associations », « poursuivre votre politique de subventionnement ». Aujourd'hui, il semble tenté de faire disparaître des associations, d'atteindre leur dignité, de les mépriser en jouant sur leur subventionnement.

- Elles sont pourtant les partenaires de la commune et de ses habitants et s'appuient le plus souvent sur l'action bénévole et désintéressée de leurs adhérents sans objectif de rentabilité économique. Leurs initiatives visent l'intérêt général, sont la réponse aux besoins de la ville après avoir examiné les nécessités du terrain, les associations sont des piliers de notre vie démocratique, sociale, culturelle, sportive. Si elles doivent être reconnues et respectées, elles sollicitent des subventions pour impulser une logique de partage et de réciprocité, l'éducation citoyenne, la solidarité.

- De nombreux points sociétaux non satisfaits par les services de la ville sont couverts par les activités associatives avec pour objectif le lien social, la coopération, l'épanouissement des personnes. A Romilly, elles participent aux animations de la ville, y compris en prenant une grande part dans les initiatives mises en place par la commune elle-même. La reconnaissance de l'associatif doit redevenir un élément essentiel des politiques publiques, c'est une nécessité pour l'avenir de Romilly.

- Pour nous, il n'est pas question de participer au démantèlement qu'Eric Vuillemin tente d'instaurer depuis plusieurs semaines, nous demandons l'abrogation de ses mesures et le juste subventionnement de la vie associative. Non, madame Lucas, comme vous l'avez déclaré dans la presse, les associations « ne pleurent pas quand leur subvention diminue », elles réclament leur juste dû pour réaliser leur œuvre. Plusieurs centaines de personnes l'ont rappelé le samedi 7 février à travers une manifestation.

- Bien plus, il est indispensable dans le contexte actuel de renforcer le rôle des associations en matière de participation citoyenne, d'éducation, en redonnant toute sa place à l'engagement notamment bénévole, développer le partenariat associations-commune, sécuriser dans la durée leur fonctionnement.
Dany Bouteiller

25 commentaires:

Cri-Cri a dit…

C'est le texte de Dany Bouteiller au conseil cela ? Le seul qui a su tenir la route sur la question

Anonyme a dit…

Bravo Dany, vous avez bien mouché Mme Lucas qui avait été ignoble envers les dirigeants bénévoles des associations romillonnes, lors de l'AG des pêcheurs !!!

Anonyme a dit…

Ne vous inquiétez pas Triché et Bekka redonneront les sommes perdues aux associations une fois élus au département.
Enfin, s'ils ont la majorité!
Et puis, ça sera très égalitaire de favoriser les assoc d'une seule commune et pas dans tout le département.

Un peu démago la proposition? Non ?

Anonyme a dit…

Où est la justice sociale ?

Anonyme a dit…

Alors que le scrutin des 22 et 29 mars s’annonce difficile pour la gauche, entre abstention et montée de la droite et de l’extrême droite, des alliances nouvelles au sein de la gauche alternative se traduisent par des candidatures communes. À la fois concrétisation et mise à l’épreuve pour un rassemblement déjà engagé.

Anonyme a dit…

La gauche n’a malheureusement pas attendu les départementales pour perdre de nombreuses occasions d’être utile aux Français. Mais nous pouvons nous saisir de celle-ci pour que ça change. Le 22 mars, l’abstention sera forte et le score du Front national sera d’autant plus important. Quelques semaines après avoir brandi l’unité nationale, c’est la division qui risque de l’emporter.

Anonyme a dit…

Les repères politiques sont plus que jamais brouillés, le slogan « tous les mêmes » envahit les esprits. Nos porte-à-porte se transforment en exercice pédagogique pour expliquer pourquoi et comment, en France, il reste une gauche qui n’abdique pas et garde comme boussole l’intérêt de ceux qui n’ont que leur travail pour vivre, à quel point les politiques d’austérité sont une hérésie qui conduit inexorablement à plus d’inégalité sociale et territoriale.

DPJ a dit…

Le Maire (FN) de Beaucaire, tout en se prétendant le défenseur des ouvriers et des salariés modestes, s 'attaque aux 35 heures hebdomadaires.
Il a fait voter par sa majorité municipale le 25 février 2015 une délibération qui porte la durée hebdomadaire du travail en Mairie à 36 h 36 mn 36 s ( sic ).
Ce dépassement de la durée hebdomadaire du travail est producteur d'un peu plus de 9,5 jours d'ARTT sur l'année. Or, Monsieur le Maire ne compense les jours d'ARTT qu'à hauteur de 7,5 jours octroyés à date fixe.
Il impose ainsi au personnel un volant de 14 h 36 mn supplémentaires, gratuites et obligatoires, soit 2 jours de travail, bafouant au passage la loi sur les 35 heures.
Le Maire de Beaucaire, serait-il un sous-marin du MEDEF dans la remise en cause des 35 heures?

OLIVIER a dit…

Le Front national n'est pas « anti-système », il est « pro-haine »

L'image lisse que le Front national et Marine Le Pen tentent de se construire ne cesse de se fissurer dans la campagne des départementales. Les déclarations nauséabondes, racistes, et appelant à la violence se multiplient sur les blogs et les comptes des réseaux sociaux de candidats du Front national. La véritable nature du FN réapparait. Ainsi, Fabien Rouquette et Michèle Boisset, candidats dans le canton de Narbonne 2 appellent les « Socialistes, Communistes et musulmans » à faire « Un geste pour la planète : suicidez-vous ! ». « Hihi, un beau rêve » s'autorise même à commenter la candidate FN *. D'autres candidats dans le canton voisin appellent à des « battues contre les arabes »… Ce n'est plus supportable.
La banalisation et l'ultra-médiatisation du Front national libèrent totalement une parole répugnante, ordurière et violente. Chacun est aujourd’hui devant ses responsabilités et doit regarder la réalité en face : le Front national n'est pas « anti-système », il est « pro-haine ». Marine Le Pen répond que ses candidats ne « sont pas des professionnels de la politique ». Il faut probablement entendre par là qu'ils n'ont pas sa technique pour cacher la véritable nature raciste de son parti.
La foire à la haine des musulmans, des juifs ou des hommes et femmes engagés à gauche doit cesser. Nous appelons les hommes et femmes de ce pays à se mobiliser contre les ennemis de la République.

Anonyme a dit…

3 milliards
c’est le montant d’économies programmées par le gouvernement sur les hôpitaux d’ici à 2017.

Et après, on s'étonne d'un Front National à 25 ou 30%...

Anonyme a dit…

Selon le site de France 3 Pays de la Loire, Louis Noguès, élu du Front National au Mans, a assimilé l’homosexualité à la zoophilie, lors du Conseil municipal du 26 février.

Marlène Schiappa, adjointe au Maire (PS) chargée de l’Égalité et des luttes contre les discriminations, venait de présenter l’actualisation de la Charte LGBT qui vise à permettre un acceuil gay friendly dans les établissements et les lieux publics manceaux. Louis Noguès prend alors la parole : « Vous défendez l’homosexualité et la bisexualité (…) Vous êtes la main du lobby LGBT ». Et de poursuivre: « À quand une délibération sur la zoophilie ? Parce que cela revient au même, quand même… »

Aussitôt, l’adjointe au maire réagit: « En injuriant de la sorte, l’élu FN rend inaudible les positions tolérantes et modérées. Après les femmes, les enfants d’immigrés, cet élu s’en est pris aux personnes homosexuelles. » réagit Marlène Schiappa, l’adjointe au Maire. Ancien militant du Bloc identitaire, Louis Noguès n’en est pas à son coup d’essai et a fait régulièrement parler de lui pour ses prises de position sexistes et racistes. Il assume aussi totalement son homophobie.

Anonyme a dit…

Décidément, le Front national se distingue dans le Puy-de-Dôme et multiplie les polémiques. Le candidat du Front national Pascal Bardin, la cinquantaine, a en effet été condamné en mai 2014 pour violence et injure raciale à six mois de prison avec sursis et deux ans de mise à l'épreuve (avec obligation de soins), par le tribunal de grande instance de Clermont-Ferrand. Il avait tenté de renverser un piéton avec son véhicule en proférant des insultes racistes à son égard. Heureusement, sa victime n'avait pas été blessée. Pour sa "défense", le candidat avait déclaré avoir "juste voulu donner une leçon de morale à un bon petit Français, un Guadeloupéen, qui traversait en dehors du passage piéton". L'affaire, révélée par le site web de France 3 Auvergne, perturbe sérieusement la campagne du parti frontiste dans le département auvergnat.

Du côté de la fédération FN du Puy-de-Dôme, on jure que personne n'était au courant de cette condamnation. "Dans les documents d'investiture que le Front national fait remplir à ses candidats, il y a un volet consacré au casier judiciaire. Pascal Bardin a visiblement omis de nous signaler cette condamnation peu glorieuse. Si nous l'avions su, nous ne l'aurions pas présenté", assure le secrétaire départemental du Front national dans le Puy-de-Dôme, Érik Faurot.

Anonyme a dit…

Depuis deux jours, c'est pourtant sa photo qui circule en train de faire le salut nazi. L'affaire, dont Le Canard enchaîné s'est fait l'écho, a fait bondir l'intéressé, qui a porté plainte pour diffamation : "Cette photo est bidon ! Ce montage a été envoyé à la presse par des personnes exclues du Front national, qui nourrissent depuis une haine implacable et semblent prêtes à toutes les bassesses pour essayer d'assouvir leur désir de vengeance. À chacune de ces attaques, nous engagerons une procédure judiciaire."

Il y a une dizaine de jours, une autre affaire secouait le Front national. Annick Rouchon, une septuagénaire non voyante, avait eu la surprise de découvrir son nom en tête d'une liste dans le canton de Saint-Ours-les-Roches, dans le Puy-de-Dôme. Elle a depuis porté plainte pour abus de faiblesse contre le FN 63, dont elle n'est plus membre depuis six mois. "Visiblement, notre candidate a fait l'objet d'intimidations pour qu'elle retire sa candidature, et moi-même, je suis victime d'une forme de harcèlement depuis des mois", se défend encore le secrétaire départemental Front national.

L'an dernier déjà, un autre coup d'éclat avait entaché la crédibilité du parti à l'issue des élections municipales à Clermont-Ferrand. L'un des trois élus frontistes, Éric Assad, avait lui aussi "caché" son passé judiciaire à son parti. Il avait pourtant été inculpé d'homicide volontaire et de tentative

Modestie a dit…

Au football, on appelle ça 'la peur de marquer' ou comment un attaquant, consciemment ou non, préfère vendanger une action de but plutôt que porter sur lui la responsabilité d'une victoire. C'est assez rare, certes, mais ce petit coup de stress existe un peu partout, et notamment en politique.

Ainsi Romain Thomann, 18 ans et candidat aux départementales dans le canton de Colmar-1, n'est pas hyper sûr de faire l'affaire. C'est en tous cas ce qui ressort d'un dialogue sur Facebook entre le jeune frontiste et un journaliste des Dernières nouvelles d'Alsace, évoqué ce lundi 2 mars dans les colonnes du quotidien régional. Romain Thomann dit :

Moi-même, si je m'écoutais, je ne me qualifierais pas de 'compétent' pour cette responsabilité. On verra bien, mais les journalistes nous attendent au tournant.
Celui qui est également secrétaire départemental du FNJ68 douterait-il de ses qualités ? Il explique surtout que, si ça ne dépendait que de lui, il n'aurait sûrement pas concouru aux départementales. Et, à l'en croire, il n'est pas le seul. Il ajoute :

Pour avoir vu les candidats dans le Haut-Rhin, ils ont presque tous été enrôlés de force…
Enrôlés de force, peut-être, mais sans doute avec leur consentement. Rien à voir donc avec ces deux candidats FN qui, mi-février, ont assuré être candidates frontistes à l'insu de leur plein gré. Ce que le parti a démenti.

Anonyme a dit…

Départementales : Le PC publie "une liste de la honte" des candidats FN
http://www.bfmtv.com/politique/le-pc-publie-une-liste-de-la-honte-des-candidats-fn-aux-elections-departementales-866785.html
A lire sans retenue

Anonyme a dit…

L'éditorial de Maud Vergnol. "Le temps presse pour montrer au grand jour l’imposture et la schizophrénie du programme du FN, qui change au gré des impératifs démagogiques de sa présidente."

http://www.humanite.fr/front-commun-contre-la-peste-brune-567065

http://www.humanite.fr/pierre-laurent-la-banalisation-du-fn-est-un-deni-democratique-567061

Anonyme a dit…

L’État vient de débloquer 300 millions d’euros pour que les hôpitaux puissent continuer d’honorer les emprunts « toxiques » qui ont fait exploser leur endettement. La fédération CGT Santé et Action sociale dénonce les conséquences de cet endettement sur le fonctionnement des services hospitaliers. Elle rappelle que ces remboursements s’appuient parfois sur les banques, et d’autres fois directement sur le budget de la sécurité sociale : « L’État paye les banques avec nos cotisations sociales.

Anonyme a dit…

Dans un communiqué du 26 février 2015, le syndicat explique que ces 300 millions d’euros débloqués par l’État ne sont pas les premiers – ils représentent une nouvelle tranche venant s’ajouter à d’autres – et que cela ne sera pas suffisant pour désendetter les hôpitaux. La fédération hospitalière de France (FHF) estimerait ainsi à plus de 3 milliards d’euros la somme nécessaire pour libérer les hôpitaux de ces dettes qui les étouffent.

Anonyme a dit…

Les conséquences de cet endettement et du coût exorbitant des intérêts à rembourser, ce sont des hôpitaux réduits à voter des budgets en déséquilibre, la fermeture de services, la diminution du nombre de lits ou l’explosion du recours aux emplois précaires et à une externalisation de services tournée vers le secteur privé.

Anonyme a dit…

La CGT santé s’inquiète de ces choix politiques qui ont sauvé les banques de la faillite, mais laissent le service public de santé crouler sous le poids d’un endettement qui absorbe des ressources financières considérables : « Continuer sur cette même ligne politique, c’est casser notre service public de santé et empêcher les usagers d’accéder à des soins de qualité. »

Le syndicat demande l’effacement des emprunts toxiques et la mise en place d’un financement à base d’emprunts qui auraient les mêmes taux que ceux pratiqués par la banque centrale européenne (BCE).

Anonyme a dit…

1826
c’est le nombre de milliardaires dans le monde soit
290
de plus que l’an dernier
7050
c’est la fortune cumulée de ces ultra riches soit
650
milliards de plus en un an

Anonyme a dit…

Philippe Torreton socialiste pur sucre, et peu tenté par le libéralisme échevelé qui se met en place avec le couple Hollande/Valls, vient d’adresser des lettres de protestation au président de la République. Dans ces courriers, il reproche à François Hollande d’avoir oublié son discours du Bourget (comme moi), mais aussi d’avoir tourné le dos à l’écologie avant de se redécouvrir "climatophile" sur le tard, et sans doute par opportunisme.

Coup de gueule aussi, à propos de la culture, grande oubliée de cette première moitié du quinquennat alors qu’elle est "l’arme absolue du vivre ensemble", si nécessaire après les attentats meurtriers de Paris.

Anonyme a dit…

Pour « faire tomber la loi Macron », Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA, a lancé hier une invitation aux chefs de file du Parti de gauche, du Parti communiste, d’Europe Écologie-les Verts et aux « frondeurs » socialistes pour participer ensemble à un meeting.
Pour « faire tomber la loi Macron », Olivier Besancenot, ancien porte-parole du NPA, a lancé hier une invitation aux chefs de file du Parti de gauche, du Parti communiste, d’Europe Écologie-les Verts et aux « frondeurs » socialistes pour participer ensemble à un meeting. « Il y aura une journée de grève interprofessionnelle appelée par plusieurs organisations, il y a un collectif unitaire triple A (Alternative à l’austérité) dans lequel on est. Il y a une proposition de meeting unitaire, le 7 avril », a-t-il expliqué. Pour lui, il y a « besoin d’un 11 janvier social (en allusion au jour des marches Je suis Charlie – NDLR), de remettre la question sociale et démocratique en place », sans « refaire la gauche plurielle qu’on a connue, qui ne marchait pas. Il faut faire autre chose, faire un programme qui propose de répartir les richesses (…), poser le problème d’une autre représentation politique (car) il y a une césure entre la représentation politique et la réalité ».

Anonyme a dit…

Tôt hier matin, alors qu'elle sortait de chez elle, une jeune militante de 20 ans du PCF de Bobigny a été agressée. Trois hommes cagoulés l'attendaient en bas de son domicile. Il s'en sont pris à elle physiquement en proférant des menaces directement liées à son engagement militant dans la ville et à la campagne des départementales. Cette agression fait suite à une série d'intimidations dont cette jeune fille est l'objet depuis plusieurs jours maintenant.

Anonyme a dit…

A longueur d'antenne dans les médias, on entend le modèle allemand celui de Merkel, auquel notre Président n'a d'yeux que pour lui, serait celui de l'avenir en réduisant les dépenses de l'Etat, en affaiblissant les retraites sous Schroder, mais voilà que dernièrement, nous éclate à la face, que la pauvreté s'étend à allure grand V dans ce pays modèle européen.
12 millions de pauvres dans la première économie du continent. La pauvreté a donc nettement augmenté en Allemagne ces derniers mois : un demi-point de plus, soit 400 000 personnes. Elle est passée de 15% en 2012 à 15,5% en 2013 : de 12,1 millions de personnes en 2012, à 12,5 millions en 2013. Elle atteint son plus haut niveau depuis l’unification des Allemagnes en 1990. C’est ce que dénoncent les associations d'aide sociale qui ont publié ces statistiques. Et c'est chez les retraités que la montées est plus rapide.
Comme quoi le système libéral Merkel-Hollande, si cher au "tenancier" du blog, laisse un grand nombre de gens sur le bord de la route, creusant aussi toujours plus fort les disparités entre Lander riche et Lander pauvre.
N'en est-il pas de même en France, entre les départements, et par exemple dans l'Aube, nous sommes le département où relève le plus de pauvreté, la précarité, et dans lequel le taux de mortalité de 5,3% est de 1,8% plus fort que la moyenne nationale 3,5%.
Dimanche 22 mars il ne faudra donc pas se tromper de bulletin pour combattre cette austérité grandissante, voter encore dernièrement par la majorité de droite du Conseil Général. C'est en votant pour la liste du candidat anti-austérité, Joé TRICHE, pour ne pas laisser à la droite ou l'extrême droite ce siège, "poids écrasant" qui marque ces politiques austéritaires. L'enjeu est donc de porter avec JT un projet politique, qui réponde à l'aspiration de la population de la communauté de Romilly, pour vivre mieux, et dans le même temps imposé avec la population une autre politique.