10/04/2018


21 commentaires:

Anonyme a dit…

Grève SNCF :
des voyageurs mettent en place la résistance
Agacés par la grève perlée de la SNCF, plusieurs collectifs d'usagers appellent à la « grève du billet », expliquent « La Voix du Nord » et RTL Luxembourg.

Initiative intéressante

Il faudrait trouver une formule qui puisse à proportion et dans le respect du droit, "emmerder" les grévistes, comme ces derniers le font des "usagers" (appellation pratique signifiant que vous n'avez qu'à la boucler et à vivre ces jours glorieux par procuration, comme si vous étiez un héritier potentiel du bienfait qui suivrait l'abandon de la réforme !)
Ne serait ce pas, juste et éminemment moral ?

et pour la fin:
Gréviste et fier de l'être ?

ET si on imposait aux cheminots grévistes de porter un badge avec la mention gréviste quand ils reprennent le travail ?

Anonyme a dit…

A une autre époque, on imposait l'étoile jaune à certains, nostalgique 12:53 ?

Anonyme a dit…

Quoi faire pour emmerder les grévistes?
Macron avec ses godillots retire sa réforme-régression, il négocie sur les propositions des représentants des cheminots pour améliorer le service aux usagers. Comme ça les grévistes n'ont plus de raisons de faire grève, et "ils seraient bien emmerdés".

Les trains roulent et les usagers sont contents.

Et toi 12:53 tu serais comme un C.O.N.et (fier de l'être?) parce que tu ne saurais plus quoi dire.

Alain a dit…

Service public ?????

Tout en se proclamant service public, "au service des usagers"la SNCF et sa direction-CGT montre qu'il n'en rien à f... des "clients"... ! Il faut vraiment une révolution pour que ces "gens-là" comprennent qu'ils doivent mériter leur salaire ; ce qui n'enlève rien au fait que certains cheminots ont un dévouement sans borne pour leur entreprise. ; SI, si j'en connais mais face aux extrémistes syndicaux, ils ne font pas le poids sous peine de se faire "casser la gueule à la récré"...

Anonyme a dit…

Qui les paie !

Les syndicats bien sur riches de centaines de millions ! Et nous pauvres clients (et non usagers) on paie pour être transportés dans des wagons à bestiaux quand encore il y en a et pendant ce temps là les conducteurs de trains restent au lit ! Bel exemple de fainéantise !

Finalement, les seules victimes n’ayant droit à aucun recours sont les clients des services publics qui subissent de manière répétée les grèves organisées par les syndicats qui, eux, ont tous les droits, et qui paient néanmoins leurs impôts et votent.
A quand une législation pour la protection de ces citoyens face aux abus des syndicats ?

Anonyme a dit…

Des wagons à bestiaux ? Il y a de la paille dont ?
ENcore qu'à te lire, on a reconnu le bestial...

Anonyme a dit…

le rassemblement du 13 Avril Place de la Gare....
un bide total.......LOLLLL

Anonyme a dit…

Toujours les mêmes baltringues que l'on retrouve à chaque manif. C'est beau les heures de balade à emmerder les travailleurs lorsque l'on est sûr que pour soi, il n'y aura pas de perte de salaire.
Fallait les voir le soir à la terrasse de chez Moineau la gueule aussi rouge que leur drapeau.

Je me demande combien de personnes vont une fois de plus perdre leur boulot à cause des grêves à répétitions ?

Anonyme a dit…

Tiens, les journées de grève sont payées ? Où ça ? Dans ta tête mais sinon ?
On a trouvé le nigaud du village qui dit n'importe quoi... A moins qu'au regard de l'heure tardive, il est aussi abusé chez Moineau...

Anonyme a dit…

la CGT et ses grèvistes pour le bar Moineau, une affaire en Or, vu le trésor de guerre de la CGT grace au subventions du contribuable

Anonyme a dit…

Certains syndicats aident leurs adhérents, fonctionnaires ou non, à supporter la perte d'argent. La CFDT finance une caisse de grève à l'aide des cotisations syndicales. «À partir du deuxième jour de grève, l’adhérent ayant fait l’objet d’une retenue de salaire pour fait de grève, reçoit une indemnité de sept heures par jour pour les salariés à temps plein, au prorata du temps de travail pour ceux à temps partiel», décrit-elle sur son site.
https://www.cfdt.fr/portail/nous-connaitre/nos-services-aux-adherents/la-caisse-de-greve-srv1_320847

La CGT habituée comme les parasites à vivre de subventions, préfère
compter sur la générosité de leurs soutiens. En 2016, lors des manifestations répétées contre la loi Travail, la CGT avait lancé un appel aux dons pour subvenir aux besoins des grévistes, adhérents ou non du syndicat. En un mois, plus de 500 000 euros avaient été récoltés dans la cagnotte et avaient permis de payer des indemnités entre 30 à 50 euros par jour de grève.
http://www.leparisien.fr/economie/la-cagnotte-de-greve-de-la-cgt-atteint-deja-500-000-euros-27-06-2016-5918883.php

Un comble pour un syndicat qui engrange des millions d'argent publiques (que ce soit de l'État ou de la Confédération européenne des syndicats)et dont le patrimoine compte quelques châteaux (Fontenay-lès-Briis, Gif-sur-Yvette) il y en aurait quelques autres mais leur appartenance est assez confuse).

Voici le lien du rapport qui visait à faire la lumière sur les finances encore très opaques des syndicats, tant ouvriers que patronaux.
http://www.lepoint.fr/html/media/pdf/rapport-perruchot.pdf

Anonyme a dit…

Si vous galérez pour rejoindre votre boulot chaque jour et que vous vous sentez agressé par un gros beauf affublé d'une casquette CGT qui profite de son statu de gréviste pour se laisser aller à des débordements en toute impunité, si vous avez perdu votre emploi à cause de ces privilégiés qui ne peuvent compter que sur leurs pouvoirs de nuisances à défaut de briller dans leur job.
Bref, si vous en avez marre de subir ces guignols qui voici un an vous agressaient dans la rue à l'entre-deux tour des élections pour que vous votiez Macron alors que celui-ci avait annoncé la continuation de sa politique engagé sous Hollande.

Face à cette injustice, vous pouvez faire comprendre à ces baltringues que eux aussi doivent subir les conséquences de la grève.

Signalez leur cagnotte de soutien sur leetchi.com.

https://www.leetchi.com/fr/Cagnotte/31978353/a8a95db7

Anonyme a dit…

Merci pour l'info, je cours donner mon obole pour aider les grévistes !

Anonyme a dit…

Les députés communistes ont rejeté le 17 avril, le projet de loi de réforme ferroviaire :

"Votre majorité aura des comptes à rendre aux usagers et aux agents de la SNCF. Pour notre part, nous laissons le compteur ouvert pour remettre les pendules à l’heure !" a expliqué Hubert Wulfranc lors des explications de vote.

Il a rappelé l’absence de réponse du gouvernement sur les modalités d’apurement de la dette, imputable au choix et au laxisme des différents gouvernements de ces 30 dernières années.

Aucune information sur le niveau de reprise, sur le calendrier et bien entendu sur qui sera appelé à régler la note .

Dans l’esprit du gouvernement, ce sont les ménages et les usagers qui seront mis à contribution et non pas les entreprises, notamment du transport routier subventionnées directement, et indirectement, par les pouvoirs publics.

Aucun engagement du gouvernement sur le maintien du réseau régional ferroviaire.

Aucune explication crédible sur le casse tête que constitue l’ouverture à la concurrence avec le maintien des exigences du service public, notamment en terme de continuité du service.

La chimère de la baisse des tarifs pour les usagers liée à l’ouverture à la concurrence est contredite chaque jour par les précédentes libéralisation qui ont touché le secteur postal, le gaz, l’électricité...

Une réforme qui se donne pour ligne de mire politique, la suppression du statut des cheminots alors même que l’Union Européenne ne pose pas cette exigence.

Une mesure de "classe" idéologique pour tenter de briser les forces de contestation sociale alors que le mouvement perdure et se réinvente chaque jour.

Le groupe GDR est consolidé dans son contre projet. Ils proposent d’assurer la pérennité et le développement d’un service public unifié autour de la SNCF, et d’introduire une fiscalité plus exigeante pour les modes de transport les plus polluants notamment transport routier et aérien actuellement largement défiscalisé.

Ils proposent également de recentrer la SNCF sur son coeur de métier, le train, et de développer les complémentarités avec les autres modes de transport.

Le vote de la réforme en première lecture à l’Assemblée nationale n’est pas synonyme de conclusion au débat, loin s’en faut. Dès à présent, le Gouvernement est comptable de sa politique devant les usagers et les agents de la SNCF

Anonyme a dit…

Les fachos communistes disent combattre les privilèges pourtant, le statu des fonctionnaires n'est il pas un privilège ?

Vous parlez de service public, il y a bien longtemps que les services donc vous faites référence n'ont plus rien de public.
Les clients (usagés) sont devenus vos otages.

Serge a dit…

Les représentants des centrales mobilisées contre la réforme de la SNCF seront reçus le 7 mai par le premier ministre Édouard Philippe. Ils ont prévenu qu'ils poursuivraient la grève s'ils n'obtenaient pas de concessions. Ils ont les moyens de tenir longtemps.
http://www.lefigaro.fr/social/2018/05/04/20011-20180504ARTFIG00011-cagnottes-de-greve-proprietes-fonds-publics-l-argent-cache-des-syndicats.php

Martinez et la CGT de vrais rats dans le fromage républicains; Martinez ment comme il respire, instinctif, congénital, c'est ainsi qu'il est devenu patron de son syndicat; et il continue à mentir tout comme ces prédécesseurs.

D'où vient l'argent ? pas des cotisations, mais du racket institutionnalisé depuis 1946, imposé alors par un PCF puissant, soutenu par une URSS hégémonique...

Anonyme a dit…

@serge

Racket : les subventions syndicales sinon grèves, casses d'usines, séquestrations de cadres.
Omerta : la loi du silence médiatique sinon casse des journalistes par le syndicat du livre.
Opacité des comptes : Seuls les intéressés savent où est l'argent et comment il est utilisé.
Blanchiment : recyclage de l'argent par achat de châteaux, de lieux de loisirs, de soirées, de salaires d'associations.
Un seul mot colle à tout ça : Mafia.

Anonyme a dit…

Lundi 14.05.2018
Suite à un acte de malveillance, le trafic est notamment interrompu sur la ligne qui relie Paris à la Normandie.

Sabotage par les brigades rouges de moscou.

Si en plus ils sabotent leur propre outil de travail pour empêcher les voyageurs de prendre leur train....!!!!

Honte à ces cheminots qui n'ont aucune conscience professionnelle et ne pensent qu'à leur propre intérêt à un moment ou la nation toute entière devrait se serrer les coudes....et avancer pour le futur bien de tous ....il est plus que temps pour les usagers de la SNCF lamentablement pris en otage par tous ces gauchistes de retrouver leurs moyens de déplacement !

Anonyme a dit…

Le but des cheminots est de faire le plus de mal aux usagers. Les personnes qui perdent leur journées de travail, qui perdent leur travail, qui annulent des rendez vous importants, des déplacement vitaux, etc tout cela est sans importance. Le principal, les rois, ce sont eux, les autres n'ont qu'à subir !

Anonyme a dit…

Sabotage !!!
Et en plus voilà qu'ils sabotent leur outil de travail, vous savez celui que nous contribuables payons par nos impôts pour un statut de cheminot qui date du début du 20e siècle du temps de la machine à vapeur

Anonyme a dit…

Vivement la concurrence ferroviaire !

Romilly est l'exemple même de la bourgade, dont la majorité des habitants (voire plus) se compose de personnels SNCF (actifs ou retraités) qui se croient en situation de monopole.
Ils se plaignent de leur qualité de vie mais ce sont des "nantis" !