
Le maire, s’il a reconnu la hausse du chômage dans notre ville, ne put s’empêcher de laisser apparaître, au cours des débats, son dépit face à la victoire de la gauche aux élections régionales.
- Eric Vuillemin refusa en début de séance, sur proposition de Claude Maitrot, de modifier l’ordre du jour et d’évoquer en priorité l’avenir des collèges Le Noyer Marchand et Langevin, compte-tenu de la présence à ce conseil, d’enseignants de ces établissements accompagnés de la présidente de la FCPE locale. Ce point important, repris à mi-séance fit l’objet d’une résolution unanime des élus, demandant le maintien des dotations actuelles et moyens pédagogiques aux deux collèges précités. La municipalité entend poursuivre les discussions avec le rectorat, notamment en faisant valoir la hausse de population attendue avec la création de logements sur le site Sorotex et l’aménagement du parking Langevin.
- La fermeture de l’école maternelle Langevin, à laquelle se sont opposés les élus de gauche, entraîne la transformation de cet établissement en site multi-accueil pour la petite enfance et, de ce fait, une nouvelle répartition des élèves. Le libre choix de l’école sera laissé aux parents d’enfants actuellement scolarisés dans cet établissement. Par contre, pour les futurs élèves, la répartition s‘effectuera en fonction de leur domicile, dans les écoles Mignonette, Gambetta et Lion.
- Christophe Latrasse, dans une intervention sur OLYMPIA, a repris l’historique de cette entreprise, ancien fleuron local et leader européen de la chaussette, devenue un gâchis industriel et un désastre social et humain. OLYMPIA, bénéficiaire de sommes considérables en aides et argent public, démontre aujourd'hui la faillite de sa stratégie de rentabilité à court terme avec son corollaire de délocalisations. L’élu du PCF a reproché au maire d’avoir, avec ses amis politiques, « suivi le dossier » alors qu’il aurait fallu le précéder afin d’éviter un tel naufrage et regrette qu’une table ronde incluant tous les acteurs n’ait pas été organisée. En réponse, le maire refuse tout esprit dogmatique ; la question essentielle est l’emploi et cela doit être l’objectif de toutes les composantes politiques.
- Eric Vuillemin refusa en début de séance, sur proposition de Claude Maitrot, de modifier l’ordre du jour et d’évoquer en priorité l’avenir des collèges Le Noyer Marchand et Langevin, compte-tenu de la présence à ce conseil, d’enseignants de ces établissements accompagnés de la présidente de la FCPE locale. Ce point important, repris à mi-séance fit l’objet d’une résolution unanime des élus, demandant le maintien des dotations actuelles et moyens pédagogiques aux deux collèges précités. La municipalité entend poursuivre les discussions avec le rectorat, notamment en faisant valoir la hausse de population attendue avec la création de logements sur le site Sorotex et l’aménagement du parking Langevin.
- La fermeture de l’école maternelle Langevin, à laquelle se sont opposés les élus de gauche, entraîne la transformation de cet établissement en site multi-accueil pour la petite enfance et, de ce fait, une nouvelle répartition des élèves. Le libre choix de l’école sera laissé aux parents d’enfants actuellement scolarisés dans cet établissement. Par contre, pour les futurs élèves, la répartition s‘effectuera en fonction de leur domicile, dans les écoles Mignonette, Gambetta et Lion.
- Christophe Latrasse, dans une intervention sur OLYMPIA, a repris l’historique de cette entreprise, ancien fleuron local et leader européen de la chaussette, devenue un gâchis industriel et un désastre social et humain. OLYMPIA, bénéficiaire de sommes considérables en aides et argent public, démontre aujourd'hui la faillite de sa stratégie de rentabilité à court terme avec son corollaire de délocalisations. L’élu du PCF a reproché au maire d’avoir, avec ses amis politiques, « suivi le dossier » alors qu’il aurait fallu le précéder afin d’éviter un tel naufrage et regrette qu’une table ronde incluant tous les acteurs n’ait pas été organisée. En réponse, le maire refuse tout esprit dogmatique ; la question essentielle est l’emploi et cela doit être l’objectif de toutes les composantes politiques.
- Il a - enfin ! - donné les chiffres du chômage : 1 137 demandeurs d’emploi sur Romilly en décembre 2009 contre 986 en juin 2008 et prévoie une hausse malheureusement importante -de l’ordre de 30%- à l’horizon de juin 2010, consécutive aux licenciements d’OLYMPIA.
Il cite à nouveau les 150 emplois « créés » depuis son élection et les 300 attendus fin juin : Coq Sportif, « Belle-Idée »… Claude Maitrot et Cristophe Latrasse déplorent que les statistiques locales du chômage ne soient jamais publiés ou mises à la disposition des élus. Tous deux regrettent aussi le mépris manifeste de certains conseillers de la majorité envers les intervenants de l’opposition.
- La société SPIE, qui a obtenu le marché de la vidéo surveillance, a présenté l’organisation de son entreprise. A Romilly, l’ensemble du projet - 22 caméras - coûtera 400 000 € dont 200 000 à la charge de la commune. Le maire rappelle que la vidéo a une fonction de dissuasion et de constat d’infractions. Les images vidéo seront conservées 14 jours. Principaux emplacements choisis: mairie, passage à niveau, gare, parking lycée Diderot, hôpital, station d’épuration, Langevin, place des Martyrs, carrefour du char, centre commercial Robespierre, rue Gambetta, centre équestre, lycée Joliot-Curie… Claude Maitrot estime disproportionné cet investissement comparé à d’autres villes de même importance ; n’aurait-il pas été plus judicieux, dans le cadre d’une politique globale, d’y inclure éducation et prévention ? Des élus de l’opposition participeront à la commission d’éthique mise en place. En réponse à une question de Rolande Barthélemy, le maire a indiqué que, pour le moment, la vidéo ne servirait pas à punir les infractions... mais qu’il n’était pas opposé au principe !
Il cite à nouveau les 150 emplois « créés » depuis son élection et les 300 attendus fin juin : Coq Sportif, « Belle-Idée »… Claude Maitrot et Cristophe Latrasse déplorent que les statistiques locales du chômage ne soient jamais publiés ou mises à la disposition des élus. Tous deux regrettent aussi le mépris manifeste de certains conseillers de la majorité envers les intervenants de l’opposition.
- La société SPIE, qui a obtenu le marché de la vidéo surveillance, a présenté l’organisation de son entreprise. A Romilly, l’ensemble du projet - 22 caméras - coûtera 400 000 € dont 200 000 à la charge de la commune. Le maire rappelle que la vidéo a une fonction de dissuasion et de constat d’infractions. Les images vidéo seront conservées 14 jours. Principaux emplacements choisis: mairie, passage à niveau, gare, parking lycée Diderot, hôpital, station d’épuration, Langevin, place des Martyrs, carrefour du char, centre commercial Robespierre, rue Gambetta, centre équestre, lycée Joliot-Curie… Claude Maitrot estime disproportionné cet investissement comparé à d’autres villes de même importance ; n’aurait-il pas été plus judicieux, dans le cadre d’une politique globale, d’y inclure éducation et prévention ? Des élus de l’opposition participeront à la commission d’éthique mise en place. En réponse à une question de Rolande Barthélemy, le maire a indiqué que, pour le moment, la vidéo ne servirait pas à punir les infractions... mais qu’il n’était pas opposé au principe !
PROJETS ET TRAVAUX
- La création d’une nouvelle zone d’habitat et de commerce sur la friche SOROTEX nécessite un réaménagement de la rue Gornet-Boivin en trois séquences de largeur différente : rue Carnot/rue de Troyes ; rue du Moulin également refaite/ fin du site SOROTEX ; nouvel ensemble immobilier/rue Mattéoti.
Le nouvel ensemble immobilier, d’un coût de 42 millions d’euros à la charge du promoteur, sera dénommé « quartier du parc de la Béchère » . Pour les collectivités, les coûts sont évalués à 1,260 million d’euros (chaussée + éclairage). Les travaux devraient débuter en septembre 2010 et s’achever en juin 2011. Le promoteur démolira le mur SOROTEX longeant la rue Gornet-Boivin à la fin des travaux immobiliers. Le projet sera présenté en réunion publique.
- La création d’une nouvelle zone d’habitat et de commerce sur la friche SOROTEX nécessite un réaménagement de la rue Gornet-Boivin en trois séquences de largeur différente : rue Carnot/rue de Troyes ; rue du Moulin également refaite/ fin du site SOROTEX ; nouvel ensemble immobilier/rue Mattéoti.
Le nouvel ensemble immobilier, d’un coût de 42 millions d’euros à la charge du promoteur, sera dénommé « quartier du parc de la Béchère » . Pour les collectivités, les coûts sont évalués à 1,260 million d’euros (chaussée + éclairage). Les travaux devraient débuter en septembre 2010 et s’achever en juin 2011. Le promoteur démolira le mur SOROTEX longeant la rue Gornet-Boivin à la fin des travaux immobiliers. Le projet sera présenté en réunion publique.
Henri Guérin s’est abstenu lors du vote de ce projet.
- L’aménagement du parking Langevin et de la rue Julian-Grimau offrira 95 places de stationnement. Il entraînera des changements de circulation pour la rue précitée et Paul-Bert. Henri Guérin n’a pas approuvé ce projet dont les travaux, d’un montant de 585 000 euros à la charge de la ville, s’échelonneront de juin 2010 à septembre 2011.
- L’aménagement de la place de la place de l’hôtel de ville entraîne une extension de l’éclairage public et de décoration pour 40 000 €.
-La réhabilitation de l’ancienne décharge communale dite « Le pré Flaubert» est estimée à 400 000 €. Les travaux débuteront lorsque les subventions seront attribuées : ADEME, Conseil Général, Région…
- La remise en état de la zone naturelle dite « Le gué de Vailly», victime de dépôts sauvages d’ordures ménagères et de déchets industriels nécessite une étude de diagnostic permettant d’identifier précisément les types de déchets et les moyens à mettre en œuvre afin de limiter les risques d’impact sur l’environnement ainsi qu’une opération de remise en état. Coûts estimés à la charge de la commune: 16 000 € de diagnostic et 25% des travaux (~ 400 000 €).
- L’aménagement de la place de la place de l’hôtel de ville entraîne une extension de l’éclairage public et de décoration pour 40 000 €.
-La réhabilitation de l’ancienne décharge communale dite « Le pré Flaubert» est estimée à 400 000 €. Les travaux débuteront lorsque les subventions seront attribuées : ADEME, Conseil Général, Région…
- La remise en état de la zone naturelle dite « Le gué de Vailly», victime de dépôts sauvages d’ordures ménagères et de déchets industriels nécessite une étude de diagnostic permettant d’identifier précisément les types de déchets et les moyens à mettre en œuvre afin de limiter les risques d’impact sur l’environnement ainsi qu’une opération de remise en état. Coûts estimés à la charge de la commune: 16 000 € de diagnostic et 25% des travaux (~ 400 000 €).
Henri Guérin s’est abstenu.
- Mise en valeur touristique de la Béchère, une première tranche opérationnelle prévoie de réaménager une partie des jardins ouvriers avec l’installation de 18 abris de jardin (zone comprise entre l’accès au centre équestre et la ferme pédagogique), d'aménager deux itinéraires de promenades et randonnées, de réaliser des aménagements paysagers et d’installer du mobilier urbain, de s’engager dans un projet de labellisation Tourisme et Handicap du parc de jeux, de veiller à une bonne gestion des courants d’eau et de rechercher un investisseur pour offrir de l’hébergement touristique sur le site. Estimation de cette première phase: 80 000 €.
En réponse à une question de Rolande Barthélemy, le maire a confirmé que les abris de jardins n’étaient pas assujettis, pour l’instant, à la taxe d’habitation.
- Mise en valeur touristique de la Béchère, une première tranche opérationnelle prévoie de réaménager une partie des jardins ouvriers avec l’installation de 18 abris de jardin (zone comprise entre l’accès au centre équestre et la ferme pédagogique), d'aménager deux itinéraires de promenades et randonnées, de réaliser des aménagements paysagers et d’installer du mobilier urbain, de s’engager dans un projet de labellisation Tourisme et Handicap du parc de jeux, de veiller à une bonne gestion des courants d’eau et de rechercher un investisseur pour offrir de l’hébergement touristique sur le site. Estimation de cette première phase: 80 000 €.
En réponse à une question de Rolande Barthélemy, le maire a confirmé que les abris de jardins n’étaient pas assujettis, pour l’instant, à la taxe d’habitation.
Abstention d’Henri Guérin.
- Vente d’une propriété communale sise 14, rue Paul Vaillant-Couturier, libre de toute occupation au prix, après estimation de France Domaine à 240 000 €. Abstention des élus de gauche.
- Dans le cadre du projet d’aménagement de la Béchère, l’acquisition d’une peupleraie sise au lieudit «Le Haut du Chêne», d’une superficie de 29 304 m2 au prix de 25 000 € a été approuvé par le conseil à l’exception d’Henri Guérin qui s’est abstenu.
- Les taux de fiscalité directe locale 2010 seront, compte tenu des incertitudes liées à la réforme de la taxe professionnelle, identiques à ceux de 2009. A une remarque d’Henri Guérin sur "serait-ce la fin de la baisse des impôts ?", le maire a soutenu que depuis son entrée en fonction, les taux affectés aux ménages avaient baissé de 2,75% et qu’il comptait atteindre 4% de baisse à la fin de son mandat, comme promis pendant la campagne des municipales.
- Vente d’une propriété communale sise 14, rue Paul Vaillant-Couturier, libre de toute occupation au prix, après estimation de France Domaine à 240 000 €. Abstention des élus de gauche.
- Dans le cadre du projet d’aménagement de la Béchère, l’acquisition d’une peupleraie sise au lieudit «Le Haut du Chêne», d’une superficie de 29 304 m2 au prix de 25 000 € a été approuvé par le conseil à l’exception d’Henri Guérin qui s’est abstenu.
- Les taux de fiscalité directe locale 2010 seront, compte tenu des incertitudes liées à la réforme de la taxe professionnelle, identiques à ceux de 2009. A une remarque d’Henri Guérin sur "serait-ce la fin de la baisse des impôts ?", le maire a soutenu que depuis son entrée en fonction, les taux affectés aux ménages avaient baissé de 2,75% et qu’il comptait atteindre 4% de baisse à la fin de son mandat, comme promis pendant la campagne des municipales.
L'opposition a refusé de prendre part au vote.
- Sur l’adoption du programme relatif à la structure petite enfance « multi-accueil », Rolande Barthélemy et Claude Maitrot ont émis des sérieuses réserves : risques de péjorer les écoles maternelles et inquiétudes sur l’avenir des assistantes maternelles.
- Sur l’adoption du programme relatif à la structure petite enfance « multi-accueil », Rolande Barthélemy et Claude Maitrot ont émis des sérieuses réserves : risques de péjorer les écoles maternelles et inquiétudes sur l’avenir des assistantes maternelles.
L'opposition s’est abstenue.
- Le projet de construction d’une salle de de gymnastique et d’un dojo au stade Bardin-Gousserey est désormais dissocié, pour des raisons de subventions, du projet de réalisation des locaux techniques et vestiaires pour les agents de l’équipe technique du Service des Sports. Le coût de cet équipement sportif, susceptible d’accueillir des compétitions de niveau régional, est estimé à plus de 6 millions d’euros et devrait être achevé, comme la nouvelle piscine fin 2013, année précédent, hasard du calendrier, les élections municipales. Claude Maitrot s’est abstenu.
- Une convention MJC/Ville définit désormais le rôle de chacun des partenaires dans l’organisation du festival « Les Mélomanies ».
- Le projet de construction d’une salle de de gymnastique et d’un dojo au stade Bardin-Gousserey est désormais dissocié, pour des raisons de subventions, du projet de réalisation des locaux techniques et vestiaires pour les agents de l’équipe technique du Service des Sports. Le coût de cet équipement sportif, susceptible d’accueillir des compétitions de niveau régional, est estimé à plus de 6 millions d’euros et devrait être achevé, comme la nouvelle piscine fin 2013, année précédent, hasard du calendrier, les élections municipales. Claude Maitrot s’est abstenu.
- Une convention MJC/Ville définit désormais le rôle de chacun des partenaires dans l’organisation du festival « Les Mélomanies ».
Henri Guérin, gêné par le « droit de regard » de la ville sur la programmation, s’est abstenu.
APPROUVES PAR LE CONSEIL UNANIME :
- Convention de solidarité urbaine avec la région Champagne-Ardenne et les bailleurs sur les projets portés par l‘OPHLM AUBE IMMOBILIER sur le quartier du Nouveau Romilly et sur ceux de MON LOGIS, quartier du Marais.
- Revalorisation de la participation pour non réalisation d’aires de stationnement ramenée à 6000 €.
- Constitution de groupements de commande avec la communauté de communes des Portes de Romilly et le centre communal d’action sociale de Romilly pour la passation d’un marché d’assistance et le renouvellement des marchés d’assurances.
- Garanties partielles de la ville de prêts à hauteur de 50% :
1/ d’un montant de 2 207 000 € contracté par la S.A. d’HLM MON LOGIS (construction de 24 logements locatifs),
2/ d’un montant de 3 405 000 € contracté par la S.A. d’HLM MONLOGIS (construction de 34 logements locatifs).
- Dissolution de Loisirs Vacances après qu’Angélique Cheikh ait rappelé l’historique de cette association créée sous un mandat de Maurice Camuset.
- Remplacement des mâts d’éclairage public de la place Médicina avec un coût estimé à 58 000 € à la charge de la ville.
- Subvention exceptionnelle de 2000 € ainsi qu’une mise à disposition de matériel à la section tennis de table du RS10, organisatrice d’un gala de tennis de table le 22 mai 2010 au gymnase Bardin-Gousserey avec la participation de 2 pongistes suédois prestigieux: Jan-Ove Waldner et Jörgen Persson.
- Revalorisation les encarts publicitaires de « l’ECHO DU VILLAGE 2010 ».
- Attribution d’une subvention exceptionnelle au Conseil Départemental d’Accès au Droit de l’Aube, qui accueillera les scolaires de Langevin lors d’une journée destinée à faire connaitre la justice et de la comprendre dans son fonctionnement.
- Versement de 1 500 € en soutien aux communes sinistrées par la tempête Xynthia
- Hors ordre du jour, le maire a mis en cause l’OMS et son fonctionnement, le quorum n’ayant pas été atteint lors de sa dernière réunion. Il propose de répartir, de façon égale, la subvention attribuée à cet organisme aux quatre associations sportives locales pour un montant global porté à 8 000 €. Cette proposition soumise au vote du conseil a été adoptée par le seul groupe majoritaire. Plutôt que « tuer » l’OMS, n’aurait-il pas été plus judicieux de redéfinir son rôle et ses missions ? Par exemple, être à l’écoute des sportifs ; des besoins matériels et financiers, veiller au bon état des installations sportives, définir les critères d’attribution des subventions municipales, organiser régulièrement des assises du mouvement sportif et de plein air…
Enfin, Christophe Latrasse a suggéré au maire de demander à François Baroin, nouveau ministre du budget, lors d’une prochaine entrevue, de cesser la « casse » du service public.
- Revalorisation de la participation pour non réalisation d’aires de stationnement ramenée à 6000 €.
- Constitution de groupements de commande avec la communauté de communes des Portes de Romilly et le centre communal d’action sociale de Romilly pour la passation d’un marché d’assistance et le renouvellement des marchés d’assurances.
- Garanties partielles de la ville de prêts à hauteur de 50% :
1/ d’un montant de 2 207 000 € contracté par la S.A. d’HLM MON LOGIS (construction de 24 logements locatifs),
2/ d’un montant de 3 405 000 € contracté par la S.A. d’HLM MONLOGIS (construction de 34 logements locatifs).
- Dissolution de Loisirs Vacances après qu’Angélique Cheikh ait rappelé l’historique de cette association créée sous un mandat de Maurice Camuset.
- Remplacement des mâts d’éclairage public de la place Médicina avec un coût estimé à 58 000 € à la charge de la ville.
- Subvention exceptionnelle de 2000 € ainsi qu’une mise à disposition de matériel à la section tennis de table du RS10, organisatrice d’un gala de tennis de table le 22 mai 2010 au gymnase Bardin-Gousserey avec la participation de 2 pongistes suédois prestigieux: Jan-Ove Waldner et Jörgen Persson.
- Revalorisation les encarts publicitaires de « l’ECHO DU VILLAGE 2010 ».
- Attribution d’une subvention exceptionnelle au Conseil Départemental d’Accès au Droit de l’Aube, qui accueillera les scolaires de Langevin lors d’une journée destinée à faire connaitre la justice et de la comprendre dans son fonctionnement.
- Versement de 1 500 € en soutien aux communes sinistrées par la tempête Xynthia
- Hors ordre du jour, le maire a mis en cause l’OMS et son fonctionnement, le quorum n’ayant pas été atteint lors de sa dernière réunion. Il propose de répartir, de façon égale, la subvention attribuée à cet organisme aux quatre associations sportives locales pour un montant global porté à 8 000 €. Cette proposition soumise au vote du conseil a été adoptée par le seul groupe majoritaire. Plutôt que « tuer » l’OMS, n’aurait-il pas été plus judicieux de redéfinir son rôle et ses missions ? Par exemple, être à l’écoute des sportifs ; des besoins matériels et financiers, veiller au bon état des installations sportives, définir les critères d’attribution des subventions municipales, organiser régulièrement des assises du mouvement sportif et de plein air…
Enfin, Christophe Latrasse a suggéré au maire de demander à François Baroin, nouveau ministre du budget, lors d’une prochaine entrevue, de cesser la « casse » du service public.
Compte-rendu par André Diot