09/09/2013

10 SEPTEMBRE : DEFENDRE ET AMELIORER NOS RETRAITES

Les manœuvres du gouvernement en ce qui concerne la future réforme des retraites ne trompent personne.

 - Il s’agit, ni plus ni moins, de poursuivre la même politique que les gouvernements précédents et ce depuis 1993. Pire encore, cette réforme avalise toutes les réformes précédentes (2003 et 2010 notamment). Celle du gouvernement Ayrault annoncée se traduirait par faire cotiser plus et plus longtemps les salariés, amplifiant ainsi la décote, ainsi que par une baisse des pensions des retraités. Cette réforme reste dans la continuité des précédentes : cotiser plus pour toucher moins !

- La réforme annoncée se traduirait par une augmentation de la durée de cotisation pour atteindre 43 ans. Cet allongement de la durée de travail diminuerait fortement le niveau des pensions en renforçant les effets de la décote. A 62 ans, elle atteindrait bien souvent sa valeur maximale de 25 %. C’est encore une fois les salariés qui vont payer !


- Le projet de réforme devait se traduire par une répartition équilibrée entre contributions des salariés et des employeurs à hauteur de 0,3% chacun. Mais le gouvernement s’est engagé à compenser la hausse de cotisation retraite pour les entreprises. Les cotisations patronales devraient être compensées par une baisse des cotisations familiales. Cela risque fort de se reporter sur la CSG ou l’impôt. Au final, ce sont donc les salariés et les retraités qui vont payer l’intégralité de cette réforme. Une hausse des cotisations baisse à nouveau les salaires et donc le pouvoir d'achat.

- D’autres sources de financement sont possibles. Il faut changer de logique et accroître les ressources des régimes de retraite en répartissant autrement les richesses. Créer de l’emploi, augmenter les salaires, rendre la fiscalité plus juste (la fraude fiscale représente une perte annuelle de ressources estimée entre 50 et 60 milliards), remettre à plat les exonérations… contribueraient à préserver et améliorer notre système de retraite.

L'intersyndicale CGT, FO, FSU et Solidaires appelle à un rassemblement à Troyes le 10 septembre à 14 h place Jean-Jaurès

31 commentaires:

Anonyme a dit…


1993 : Balladur serrait la vis pour le
secteur privé, en augmentant
la durée de cotisation (40 années au
lieu 37,5) et en prenant comme
salaire annuel moyen celui calculé
sur les 25 meilleures années (10
auparavant), en instaurant un système de décote et en indexant les
pensions sur les prix et non sur les salaires

Anonyme a dit…

2003 :Fillon s'attaquait au secteur public en
alignant la durée de cotisation des
fonctionnaires sur celle du privé, en appliquant également le système de décote, en
limitant l’accès aux préretraites, en mettant
en place un dispositif "carrière longue"
censé permettre aux salariés de partir en
retraite avant l’âge de 60 ans, et en instaurant la surcote pour les salariés qui souhaitaient poursuivre leur activité après 60 ans

Anonyme a dit…

2008 Les régimes spéciaux étaient visés, la réforme s’attaquait aux
régimes particuliers dont bénéficiaient certaines entreprises
publiques, branches ou professions pour compenser la dangerosité
ou la pénibilité du travail. Étaient notamment concernés les salariés
de la SNCF, de la RATP, les marins, mineurs, clercs... (5 millions de
personnes environ). L’objectif de la réforme était de rapprocher ces
régimes de celui du régime général.

Anonyme a dit…

» 2010
L'âge du départ à la retraite reculait.
• Recul progressif de l’âge de départ à
la retraite de 60 ans à 62 ans à l'horizon
2018 (en novembre 2011, l'échéance est
ramenée à 2017).
• Recul de 65 à 67 ans de l’âge à partir
duquel un salarié peut bénéficier d’une
retraite à taux plein sans avoir le nombre
nécessaire d’annuités de cotisation.
• Alignement progressif, d'ici 2020, du
taux de cotisation des fonctionnaires sur
celui du privé (de 7,85 % à 10,55 %).
• Durée de cotisation est portée à 41
ans et 1 trimestre en 2013 (en juillet
2011, elle est portée à 41,5 annuités à
l'horizon 2017 pour la génération née en 1955

Anonyme a dit…

Et malgré ces réformes successives, toujours au détriment des salariés
et des retraités, l'objectif de ramener le système des retraites à l'équilibre,
à plus ou moins brève échéance, n’est toujours pas atteint !

Anonyme a dit…

Sous la pression européenne, le gouvernement socialiste a engagé des
négociations pour une énième réforme
des retraites qui devrait, soit disant, assurer la stabilité des régimes des retraites par
répartition, donc, leur financement.
Qu’en est-il en réalité ?
Pour le COR, il faut toujours agir sur
les mêmes leviers :
• repousser encore une fois l’âge de
départ en retraite (60 ans en 2003, 62 ans
aujourd’hui…),
• continuer à augmenter la durée d'assurance (37,5 années en 2003, 41,5 années
en 2017…),
• désindexer les pensions des salaires
(déjà fait) et des prix (c’est pour bientôt !),
• augmenter les cotisations retraite (augmentation progressive déjà prévue pour
les fonctionnaires, passage de 7,85 % en
2010 ; 8,76 % aujourd’hui… ; 10,80 % en
2020),
L’augmentation de la durée d’assurance
permettant de bénéficier d’une retraite
dite à "taux plein", c'est-à-dire sans
décote, serait, à priori, une des mesures
choisie par ce gouvernement sous pré-
texte que la durée d’espérance de vie s’allonge. Mais les gouvernants oublient de
préciser que l’espérance de vie en bonne
santé a reculé depuis 2008... elle s’arrête
aujourd’hui à 61 ans !
La "vénérable" institution d’experts (le
COR) estime, dans l’un de ses scénarios,
que le système pourrait devenir excédentaire en 2060 si l’allongement de la durée
d’assurance était programmé dans les
conditions suivantes :
41,75 ans à partir de la génération née
en 1958, 42 ans pour celle née en 1962,
43 ans pour celle née en 1975, 44 ans
pour celle née en 1989 et 44,75 ans pour
la génération née en 2000. Cela aurait
pour effet une diminution du besoin de
financement, obtenue par l’allongement
de la durée d’assurance requise (- 0,3
point PIB en 2040, - 0,7 point en 2060).
Concrètement, cela signifierait, par exemple, qu’un salarié entré sur le marché du
travail en 2013, né en 1989, donc âgé de 24
ans aujourd’hui, ne pourra espérer bénéficier d’une retraite à taux plein qu’à l’âge de
68 ans, soit en 2057.
De qui se moque-t-on ?

Anonyme a dit…

Sauf si le départ à la retraite à taux plein sans condition est maintenu à 67 ans!
Pour l'instant rien a changé.

Anonyme a dit…

T
outes les mesures qui ont été
prises ou envisagées se font systématiquement au détriment des salariés. Pas une seule recommandation,
pour mettre à contribution l’ensemble des richesses de notre pays (5ème
puissance économique mondiale !),
même à titre transitoire (taxation des
dividendes des actionnaires, contribution exceptionnelle des plus aisés
ou des entreprises du CAC 40…).
Le salarié, une fois retraité, devient
un coût, donc, lui seul doit payer !
(pourtant, c’est lui qui a principalement contribué à créer la richesse de
notre pays).

Anonyme a dit…

Pour sa part, la CGT a toujours
été claire dans ses propositions,
en matière de retraite, seul le
retour au plein emploi permettrait
de financer les retraites. Tout doit
être mis en œuvre pour atteindre
cet objectif, et cessons de faire
payer aux salariés et aux retraités
les errements délibérés de la
finance mondialisée.

Anonyme a dit…

Vuillemin dans la panade avec veolia, voir l'article de triché sur son blog.

la voix du peuple a dit…

Quel matraquage médiatique hier et ce jour sur la LE PEN. Une honte ces médias. Par contre sur la fête de l'huma,l'évènement politique qui va rassembler plus de 600000 personnes, presque rien ou insignifiant dans les médias. Une honte! Qu'il est loin le temps de Mourousi, qui consacrait un journal entier sur cette fête. Le pouvoir socialiste est certainement passé par là. Comme la droite il musèle la voix du peuple. A méditer pour les prochaines élections.

Anonyme a dit…

Il faudrait un peu arrêter la parano d'un pouvoir socialiste qui "dirige" les médias.
TF1 invitant Marine LE PEN, n'est pas du ressort du pouvoir en place!

Et puis 600 000 personnes pour un évènement politique? N'est-ce pas pour les concerts?

Anonyme a dit…

c'est vrai 16:30
arretons avec le pouvoir socialiste qui dirige "les médias"
c'est la puissance financière qui dirige mais...avec la complaisance de l'UMPS qui sont bien contents de se "servir" de la menace du FN pour empêcher tout choix d'une autre politique et pour se maintenir au pouvoir avec le mode électoral , on le voit aux présidentielles avec la menace que la "gauche" ne soit pas au 2ème tour.
Il faut une 6ème république avec une vraie proportionnelle

"600 000 personnes... n'est ce pas pour les concerts?"
si c'était le cas, toutes les télés se précipiteraient, on verrait des transmisssions complètes mais c'est justement parce que ce n'est pas que cela.C'est bel et bien un évement politique au sens noble mais pour le reconnaitre il ne faut pas avoir l'esprit étroit


Anonyme a dit…

J'y étais à la fête de l'Huma et j'invite notre quidam qui n'y voit que des concerts à s'y rendre pour se faire une idée réelle sur place

Pour être bien informé sur ce parti attrape-nigaud a dit…

LE FN DOIT ASSUMER SON CATASTROPHIQUE BILAN LOCAL
http://matthieulepine.wordpress.com/2013/07/01/municipales-le-fn-doit-assumer-son-catastrophique-bilan-local/

Reflexion a dit…

Quand Poutine prend de court tout ce beau monde de va-t-en guerre en Syrie...n'est ce pas là une maladie à rechute de la social-démocratie!
Depuis des décennies la social-démocratie a fait un choix: celui des ranger aux cotés de la bourgeoisie.
Historique: A peine Jean Jaurès enterré au lendemain de son vibrant appel en faveur de la paix, les dirgeantsts socilaistes acceptent au mois d'aout 1914, l'entrée en guerre de la Frrance sous la bannière de l'Union sacrée. Pour le socialiste dissidents, il s'agit là "d'une véritable installation dans le système impérialiste". Elle aura des retombées historiques avec des sursauts révolutionnaires comme le changement à la direction de "l'Humanité" (journal créé par Jaurès, où arrive Marcel Cachin, début d'un movement précédent la création du PCF à Tours.
Le vote des pleins pouvoirs à Pétain en 1940, par une majorité de députés socialistes alors que leurs collègues communistes étaient déchus de leurs mandats et emprisonnés n'est pas un fait de guerre. Simplement, un comportement révélateur qui précédera, après les années de résistance, l'agression contre le peuple vietnamien. On cite souvent Mendès France et son rôle lors des négociations de paix à Genève. on oublie toujours la provocation montée (déjà) de toutes pièces par les ervices français et relayée par les médias de l'époque sur un prétendu attentat dans le port d'Haiphon ouvrant la voie aux bombardements et à l'intervention française dont on connait l'issue à Dien Biên Phu.
Les massacres de Sétif en 1945 (45000 morts), de Madagascar en 1947 (89000 morts), la guerre d'Algérie, et François Mitterrand alors ministre de la justice refusant de gracier 45 combattants algériens condamnés à mort, Guy Mollet qui, avec les Britanniques et les Israliens, organise une expédition "punitive" contre l'Egypte, coupable en 1956 de conquérir son indépendance et de nationaliser le canal de Suez, sont autant d'épisodes auxquels la social-démocratie française a été mêlée et qui n'ont pas fait l'objet du moindre début d'autocritique.
En 1981 la politique étrangère de la social démocratie ne se distingue pas de celle de la droite. En Afrique, au Tchad en aout 1983 Mitterrand fait intervenir nos troupes en soutien à Hissène Habré. Ensuite le Rwanda de 1990 à 1994, où périront plus de 800000 Tutsi. Plus près de nous encore, souvenous-nous de l'engagement de la France dans la première état-uniènne en Irak, la guerre du Kosovo, avec le bombardement de la Serbie.
Aujourd'hui avec la Syrie, les dirigeants socialistes prolongent uen maladie, non pas infantile, mais orpheline: celle consistant à prolonger la guerre sous des prétextes divers, souvent faussement humanitaires et mensongers.
Comment explique cette obstination dans la continuité d'une politique étrangère atlantiste? Il faut rechercher les racines du mal dans l'istoire de notre pays: la guerre contre révolutionnaire après 1789, menée par les royaliste et par des révolutionnaires "hésitants", ancêtres des dirigents socialistes d'aujourd'hui; les compromissions lors de la Commune de Paris passées ave Thiers, au nom de la sauvegade de la nation, et l'extermination de la frange la plus éclairée de la population parisienne; la politique de non-intervention en Espagne et la soumission à la politique de Hitler, affirmée à Munich et, plus tard l'assujettissement à Pétain. Pour quel résultat?
Au bout du compte, la social démocratie a fait un choix: celui de se ranger aux cotés de la bourgeoisie. En politique intérieure, hier comme aujourd'hui, son inclination à verser du coté du patronat, dans le domaine international, à préférer l'alignement sur Washington à une politique souveraine et ouverte au monde nouveau. Est-ce inéluctable? la social-dmocartie est particulièrement sensible à une chose/ le rapport de forces. Il reste à construire;

Anonyme a dit…

Le mensonge sur la « pause fiscale » vis-à-vis des classes populaires étant tout de même trop grossier, le gouvernement invente le « ralentissement, pour aller à une pause fiscale qui sera effective en 2015 »… Une sorte de « pause mobile » et en plus une pause virtuelle !
Pour les patrons, la pause est immédiate et bien réelle. Elle est même rétroactive puisqu’ils ont déjà été servis en 2012 avec le crédit impôt compétitivité à 20 milliards d’euros.

Anonyme a dit…

La Cour des Comptes préconise la suppression complète du remboursement des lunettes et des lentilles par la Sécurité sociale, pour le basculer entièrement vers les assurances complémentaires. Ce remboursement est déjà minimal - moins de 4% des frais en moyenne – mais une telle mesure augmenterait mécaniquement le nombre de ceux qui renoncent à des soins, faute d’une mutuelle efficace, voire faute d’une mutuelle tout court.
La Cour des Comptes est atteinte de cécité sociale. Pour faire des économies sur le dos des classes populaires, elle ne manque pas d’imagination. Mais ses lunettes ne lui permettent pas de s’en prendre aux industriels de l’optique et des réseaux de distribution, qui encaissent chaque année plus de 3,7 milliards d’euros.

Anonyme a dit…

Lors de son intervention télévisée, Hollande a promis une pause fiscale. Mais pour qui ? Il n’y a rien de changé : hausse de la TVA, baisse du quotient familial, explosion des impôts et des taxes locales, salaires et pensions amputés sans parler des coupes claires dans tous les budgets qui servent à la population.
En revanche, Hollande a promis des nouvelles aides aux patrons du bâtiment et une baisse des impôts sur les bénéfices des entreprises.
La pause fiscale, c’est pour les riches.

Anonyme a dit…

Intervenant à l’université d’été de son parti à Marseille, Le Pen a prétendu défendre à la fois les travailleurs et les entrepreneurs. Mais elle passe sous silence que ces « entrepreneurs », grands et petits capitalistes, aggravent les conditions de travail ou licencient pour accroître leurs profits.
C’est là faire la preuve qu’elle est dans le camp des exploiteurs.

Anonyme a dit…

Le 15 septembre 2008, la faillite de la banque Lehman Brothers déclenchait la plus grande crise économique depuis 1929. Depuis cinq ans, les travailleurs de toute la planète continuent de subir le recul de la production, le chômage de masse, l’austérité pour rembourser les cadeaux consentis aux banquiers par les États. Pendant ce temps, les banques, sauvées et renflouées, voient leurs profits repartis à la hausse. Elles drainent toutes les richesses disponibles pour spéculer, préparant ainsi le prochain crash.
Oubliés, les discours sur la « régulation » des banques et du capitalisme ! La seule façon de réguler serait de les exproprier sans indemnités ni rachat.

Anonyme a dit…

Une étude des Nations Unies démontre qu’environ 1600 milliards de tonnes de produits alimentaires sont jetés et perdus chaque année, soit un tiers de la production mondiale.
Ces pertes ont lieu pour une très grande part dans les pays riches, simplement parce que ce ne sont pas les besoins des hommes qui déterminent la production, mais les seules lois du marché.
Remplacer ce marché par une production rationalisée, planifiée en fonction des besoins réels, relèverait du bon sens et de la simple humanité.

Anonyme a dit…

Pavlos Fryssas, un artiste de hip-hop de 34 ans connu sous le nom de scène Killah P, sympathisant d'extrême gauche, est décédé des suites de blessures au couteau dont un membre du parti néo-nazi Aube dorée a reconnu être l'auteur, dans la nuit de mardi à mercredi près d'Athènes.

Anonyme a dit…

Le gel du barème de l’impôt sur le revenu décidé par Sarkozy avait rendu imposables un million de foyers supplémentaires. Cette année, la décision de Hollande-Ayrault de maintenir ce gel rend imposables de 1,2 à 1,6 million de foyers supplémentaires qui, en plus de l’impôt sur le revenu, devront payer la taxe d’habitation ou la redevance audiovisuelle, et perdront certains droits qu’ils avaient en tant que non-imposables.
Moscovici, ministre de l’Économie, reconnaît les chiffres mais répète que le barème sera de nouveau indexé sur l’inflation l’an prochain. Les promesses n’engagent que ceux qui y croient mais en attendant, aujourd’hui, il fait les poches des plus modestes.

Anonyme a dit…

Selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de l’énergie), les dépenses moyennes de gaz et d’électricité ont atteint le record de 1 403 euros par an et par ménage l’an dernier. C’est la conséquence de la flambée des tarifs qui se poursuit. Le tarif dit « régulé » de l’électricité vient d’augmenter de 5 % et augmentera encore de 5% l’année prochaine.
Pendant que les usagers sont littéralement rackettés, GDF Suez et EDF distribueront, à elles deux, près de 6 milliards de dividendes cette année. Entre les actionnaires et le gouvernement, le courant passe.

Anonyme a dit…

La direction d’Air France vient d’annoncer un nouveau plan de 2 800 suppressions d’emplois qu’elle prétend obtenir sous forme de « départs volontaires ». C’est le troisième plan en trois ans et ces suppressions d’emplois viennent s’ajouter aux 5100 annoncées en 2012. Transferts d’activité vers sa filiale « low cost », réductions de personnels et d’activité dans les bases de provinces, pressions et charge de travail accrus pour tout le personnel, c’est l’avenir selon Air France.
Au moment où le gouvernement prétend apercevoir la « reprise », il laisse une entreprise détenue à 16 % par l’Etat aggraver le chômage pour mieux rassasier ses actionnaires. Cherchez l’erreur !

Anonyme a dit…

Bon travail de l'antenne romillonne de la Pravda, qui nous copie-colle les nouveles neuves de l'Humanité ! Faut vraiment rien avoir à foutre !

Anonyme a dit…

Perdu ! C'est même pas de l'Huma ! Cherche tu vas trouver...

Anonyme a dit…

Moi, j'aime bien lire ici ce que je n'ai pas le temps de lire par ailleurs et qui dépeint la vérité. Continuez les gars, vous faîtes un bon boulot et comme j'ai confiance en vous et qu'on ne vous voit pas qu'au moment des élections, vous aurez ma voix et celle de ma femme aux municipales.

Anonyme a dit…

C'est à croire qu'il n'y a pas d'antenne de la Pravda à Romilly...

Il est là l'argent à trouver.... a dit…

LES OIES DE NOEL SERONT- ELLES GAVEES COMME UN ACTIONNAIRE DU CAC40...En 2013, si l'année se termine comme prévu, les profits des entreprises du CAC 40 auront augmenté de 16% par rapport à 2012. selon le cabinet PrimeWiew, elles auraient décidé d'en reverser la moitié à lurs actionnaires (hors profits exceptionnels). soit une masse de dividende de 40 milliards d'€, gonflée de 5% par rapport à celle de cette année. Rappelons que le salire mensuel de base des salariés a dû se contenter d'un petit bond de 1.8% seulement sur l'année (à fin juin), selon les statistiques du ministère du travail. Les mieux lotis seront les actionnaires de Total (5,66 milliards d€), Sanofi (3,71 milliards d'€) et GDF Suez (3,62 milliards d'€). Mais tous les groupes devraient distribuer devraient des dividendes en 2014, et les banques vont augmenter la manne. A en croire" les spécialistes", cette générosité serait le fruit d'une forme de lassitude! A quoi bon investir puisque la croissance est "molle"?. D''ailleurs, les stars du CAC 40 ont déjà pléthore de liquidités et savent qui si une occasion se présente, elells peuvent toujours emprunter à bon prix. autre petite gâterie: le rachat d'actions par le groupe pour les détruire. tous les actionnaires y gagnent. ceux qui vendent, puisque le prix offert est supérieur au cours du moment. Ceux qui gardent, puisqu'ils seront moins nombreux à se partager les dividendes. Depuis le début de l'années, les groupes du CAC 40 ont racheté pour 5,7 milliards d'€ de leurs propres actions, contre 2,8 l'année dernière à la même période. Notre Président devrait trouver là de quoi financer la réforme des retraite. Encore faut-il qu'il en est le courage politique, lui le président de la gauche caviard