27/04/2017

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19/04/2017


06/04/2017

LES COMMUNISTES RENDENT HOMMAGE A HENRI MILLET


Mercredi 5 avril, les communistes romillons et aubois ont rendu hommage au premier maire ouvrier de France Henri Millet.

Le jour même, l'historien Jean-Numa Ducange, était en terre romillonne à l'invitation de l'Université Populaire de l'Aube pour une conférence sur Jules Guesde, dont il vient d'écrire une biographie.

Romilly, ville natale d'Henri Millet et dont il fut maire de janvier 1895 à mai 1896 et réélu en 1900 jusqu'à sa mort prématurée en 1902, était un haut lieu du mouvement "guesdiste", comme, l'a fait remarquer l'historien, un certain nombre d'autres régions, en particulier du nord de la France, avec une forte implantation de l'industrie textile.

Dany Bouteiller, conseiller municipal, a retracé la vie d'Henri Millet et évoqué quelques avancées sociales dont il fut l'instigateur au cours de ses deux mandats.
Une gerbe a été déposée sur sa tombe par le secrétaire de l'union locale CGT, Christophe Latrasse, et Gisèle Malaval, membre du Conseil national du PCF. Pierre Mathieu, Jean-Pierre Cornevin, secrétaire départemental du PCF, Joë Triché et Rolande Barthélemy, anciens conseillers municipaux et Jean Lefèvre, président de l'Université Populaire de l'Aube, étaient présents à cette cérémonie.

Rappelons que, sous les municipalités à direction communiste, la tombe d'Henri Millet était fleurie chaque année. Et en 1952, pour le cinquantième anniversaire de sa mort, Marcel Cachin (à l'époque directeur de l'Humanité qui a toujours revendiqué sa filiation avec la pensée guesdiste) et le résistant, fondateur des FTPF (Francs tireurs et partisans français) et ministre communiste Charles Tillon, étaient venus lui rendre hommage.


PS : Sur Henri Millet, on peut lire la biographie de Pierre Guillaumot : "Henri Millet, une vie au service d'un idéal".

01/04/2017

EAU / ASSAINISSEMENT :
LE TRIBUNAL ADMINISTRATIF CONDAMNE UNE NOUVELLE FOIS LA VILLE DE ROMILLY S/S


Conférence de presse des élu-e-s communistes et partenaires du 31 mars 2017. Introduction de Pierre Mathieu :

Durant le premier mandat d’Éric Vuillemin, le prix de l’eau n’a cessé de flamber. Les usagers ne l’ont pas oublié ! Suite au rachat par Véolia de la société Ruas les contrats de gestion de l’eau et de l’assainissement (collecte des eaux usées) ont été repris par ce groupe. Rappelons que les contrats (1993-2013) prévoyaient des engagements précis, une méthodologie de mise en œuvre et un calendrier pour le suivi.
Par exemple, le contrat (Eau) prévoyait explicitement que le remplacement de la totalité des branchements en plomb devaient être terminé pour fin 2013. Le coût de ces remplacements étant bien entendu compris dans le prix des m3 d’eau facturés aux  usagers. Or, durant des années le maire et sa majorité ont faillis dans le suivi de la mise en œuvre du contrat. Ils n'ont pas fait le nécessaire pour s’assurer que Véolia exécute en temps et en heure toutes ses obligations. Ils ont fait preuve d'un laxisme coupable, tant et si bien qu’à l'approche de la fin du contrat en 2013 il restait encore 1 800 branchements à remplacer !

Face à cette situation, dont il porte l’entière responsabilité, Eric Vuillemin a alors proposé au conseil municipal du 26 avril 2013 deux délibérations pour conclure un avenant (n°1) à la Délégation de Services Public du service de l'eau et un avenant (n°2) à la DSP du service de l'assainissement (collecte). Les élus communistes et partenaires ont toujours contesté le contenu de ces avenants. Outre qu’ils avaient pour effet de prolonger d'un an les DSP en cours (portant leurs durées de 10 à 11 ans) ils  modifiaient surtout en profondeur l’équilibre économique des contrats initiaux au détriment des finances de la commune et des abonnés au service de l'eau.