15/10/2013

CONSEIL MUNICIPAL DU 5 OCTOBRE EN BREF

- Adoption à l'unanimité d'un vœu contre la suppression annoncée de 6 allers-retours de la ligne SNCF Paris-Troyes.
- Recrutement d'un nouveau directeur général  des services de la mairie et promotion au poste d'adjoint administratif principal 2è classe d'un agent.
- Fixation des modalités de rémunération des agents recenseurs.
- Adhésion de la commune au contrat groupe assurance des risques statutaires 2014-2016.
- Convention complémentaire sur les modalités de co-participation des villes de Nogent et de Romilly à la gestion de l'aire d'accueil des gens du voyage, selon les recettes et dépenses de fonctionnement et d'investissement.
Sur cette question, Christophe Latrasse a souligné que la ville de Nogent ne voulait pas installer les gens du voyage sur son territoire. Son financement de 10 places à Romilly est insuffisant par rapport à  la loi en vigueur.

- Admission en non-valeur de produits irrécouvrables sur le budget principal de la ville pour un montant de 17 805 euros.
- Ajustement des budgets annexes concernant le service de l'eau, de l'assainissement et du cinéma municipal.
- Convention de mise à disposition de service du Centre Communal d'Action Sociale au profit de la ville.
- Désaffectation suivie du déclassement du domaine public d'un bien immobilier situé rue Emile Zola.
- Vente de deux terrains à bâtir communaux rue Gounod et rue Pierre Sémard.
- Acquisition par la ville d'une bande de terrain située chemin du Marais, et de 2 parcelles privées situées au lieudit « le bas du Ru », d'un local rue des Myosotis.
- Remise gracieuse de pénalités de 3 contribuables à la taxe d'aménagement.
- Réfection de l'éclairage public avenue Diderot, convention avec Aube-Immobilier pour la pose d'un luminaire d'éclairage rue Partouneaux, renforcement de l'éclairage en divers endroits de la ville.
- Le Conseil Municipal a pris acte du rapport annuel sur le prix et la qualité des services publics de distribution d'eau potable et d'assainissement.
- La future piscine coûtera 7,8 millions d'euros, d'après Eric Vuillemin, la ville ne déboursera que 20% de la somme.
- Convention pour la mise à disposition des minibus de la ville avec le RS-10, Romilly Handball, l'AFMR.
- Subvention de fonctionnement de 13 000 euros à Romilly Handball, 25 000 euros à l'AFMR.
- Validation du projet numérique des écoles, sollicitation d'une aide européenne et inscription de la dépense au budget.
- Mise en place d'un transport Romilly-Arcis-sur-Aube  et retour à destination des élèves et étudiants romillons inscrits dans les établissements de Reims et de Châlons.
- Aménagement de l'esplanade Emilie de Chatelet : demande de concours financier auprès de la Région.
- Cession de parcelles à l'OPHLM Aube-Immobilier
- Subvention exceptionnelle de 10 000 euros à l'association des vitraux de Romilly, de 1000 euros à Radio Aube-Seine, de 250 euros à l'association départementale des anciens maires et adjoints, à l'association de pêche et de la protection du milieu aquatique (1500 euros) et à l'association des jardins familiaux (1500 euros).
- Fixation des tarifs de location des chalets du marché de Noël.
- Evolution de la fourrière municipale.

15 commentaires:

Anonyme a dit…

Et Vuillemin, il n'a pas parlé de son grand projet pour la friche Sorotex qui ressort comme par enchantement à 6 mois des municipales?

Plus personne ne le croit

Anonyme a dit…

Certes il a adopté un voeu mais depuis la réunion de la semaine dernière, on ne voit rien venir de la part du Maire pour la ligne SNCF

Anonyme a dit…

Je vois sur votre colonne de droite que Mathieu et le Président de la région Champagne-Ardenne ont agi de leur côté pour la ligne SNCF.
On attend une action du Maire car là, il ne s'agit pas de faire des effets d'annonces mais des actions et chacun sait que ce n'est pas sa qualité première

Anonyme a dit…

C'est vrai que Vuillemin a été trsè démago lors de la réunion de jeudi dernier, voire populiste mais cela ne suffit pas pour obtenir des résultats

Anonyme a dit…

C'est une note de quatre pages, classée "confidentiel" et rédigée par le ministère de l'Intérieur. Chaque mois, les services de Manuel Valls, sur la foi des rapports que leur adressent les préfets, rédigent une "synthèse", qui est une manière de plonger dans les méandres de l'opinion publique. Elle dit l'esprit du temps, le moral des élus et l'humeur des Français, ceux que l'on entend peu dans les grands médias et qui représentent ce que certains appellent "le pays profond".

La dernière en date de ces synthèses a été publiée le 27 septembre dernier. Elle est remontée illico jusqu'au sommet de l'Etat et a été jugée suffisamment inquiétante à l'Elysée et à Matignon, pour que, cette fois-ci, elle soit communiquée aux principaux dirigeants de la majorité.

La France gronde, les Français sont en "colère ".

Anonyme a dit…

Sentiment d'abandon des zones rurales, ras-le-bol fiscal, augmentation de la petite délinquance, détresse du monde artisanal : on retrouve là tous les ingrédients qui, mis bout à bout, nourrissent le programme lepéniste dans ce qu'il a de plus tristement classique. Durant l'été dernier, Hollande confiait volontiers son inquiétude de voir la réforme des retraites "unifier" un mécontentement latent.

Anonyme a dit…

Dans une vingtaine d’établissements parisiens et dans quelques villes de province, des lycéens se sont mobilisés pour dénoncer les expulsions de lycéens, dont celles de Leonarda et de Khatchik, survenues il y a peu.
Ce qui semblait normal à un ministre de l’Intérieur socialiste et à bien des responsables socialistes a révolté les lycéens.
Les mêmes droits pour tous, le droit à l’éducation pour tous, avec ou sans papiers, leur semblent une évidence.
Bravo les lycéens !

Anonyme a dit…

En 2012, l’ancien gouvernement de droite avait créé un taux intermédiaire de TVA, s’appliquant entre autres sur le prix des billets de train, augmentant cette taxe de 5,5 % à 7 %, En 2014, l’actuel gouvernement de gauche va le faire passer à 10 %.
Le PDG de la SNCF, qui augmente par ailleurs régulièrement le prix des billets, se plaint hypocritement de cette hausse de la TVA sur les billets, réclamant que les transports publics en soient dispensés. Mais il annonce que la SNCF fera entièrement payer cette hausse par les voyageurs.
La seule chose que ces gens-là n’auront pas volée, c’est la révolte des usagers qu’ils attisent.

Anonyme a dit…

Le trust pharmaceutique GSK annonce 271 suppressions d’emplois en France. Il avait réalisé 5,3 milliards d’euros de bénéfice l’an dernier.
De leur côté les salariés du pôle média de Lagardère, qui contrôle plusieurs journaux et revues, sont en grève contre les 350 pertes de postes de travail annoncées par la direction, alors que les syndicats parlent, eux, de 570 suppressions d’emploi. L’an dernier, le groupe Lagardère avait fait 106 millions d’euros de profits et se vantait d’une « excellente situation de liquidité » avec 1,7 milliard d’euros disponibles.
Des salariés que l’on prive de leur gagne-pain, des patrons gloutons qui accumulent des profits, ça n’a que trop duré.

Anonyme a dit…

Plusieurs députés du PS ont tenté d’amender la loi sur le Crédit impôt compétitivité et celle sur le Crédit d’impôt recherche. Ils sont un peu gênés par les effets d’aubaine bien trop visibles de ces dispositifs. Le premier est un cadeau de 20 milliards d’euros. Le deuxième, qui a coûté 6 milliards en 2012, est une manne pour de grands groupes qui font financer toutes leurs recherches, et sûrement d’autres dépenses, par la collectivité.
Mais les députés récalcitrants ont dû faire machine arrière : le gouvernement, qui multiplie les preuves d’amour envers le patronat, refuse catégoriquement d’augmenter les contrôles administratifs pour les bénéficiaires. Qu’elle est dure, la vie de député-godillot !

Anonyme a dit…

Silence radio autour du passage à tabac de Jean-Baptiste Eyraud, fondateur et porte-parole de l’association Droit au logement (DAL). Comme si agresser l’une des figures de la vie associative française était devenu chose banale. Samedi, place de la République à Paris, le DAL manifestait pour demander le relogement de 300 familles. Un rassemblement déclaré en préfecture et parfaitement légal, encerclé, puis dispersé avec violence par les CRS. Plusieurs mères de famille ont été frappées. Jean-Baptiste Eyraud a été roué de coups de pieds alors qu’il s’était assis par terre.

Anonyme a dit…

Une étudiante syndicaliste de Paris-I a été attaquée au cutter, jeudi, chez elle. Avant-hier, une militante de Nanterre a été agressée.

«Sale gauchiste, on sait où tu habites, on va te violer. » Ce sont les menaces proférées, lundi soir, par un homme aux mains gantées à une étudiante de Nanterre plaquée contre le mur, à la sortie de son cours de danse. L’agresseur lâche l’adresse de la jeune femme pour prouver qu’il est sérieux. Puis s’en va.

Anonyme a dit…

Après le maire de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), celui de Fleury-Mérogis (Essonne) annonce, jeudi 24 octobre, sa démission du Parti socialiste. David Derrouet s'estime "trahi" par la politique du gouvernement français. Il appelle ceux "qui veulent bâtir une politique ambitieuse de redistribution réelle des richesses et veulent construire un autre modèle de développement économique et industriel" à se rassembler.
L'édile explique que la loi de finances 2014, que le gouvernement s'apprête à faire voter la semaine prochaine, est la goutte d'eau qui a précipité sa décision. "J'avais prévu depuis des semaines que si la loi de finances était opposée aux promesses présidentielles, je me retirerais", a-t-il déclaré à l'agence Reuters.

"Toutes les promesses ont été reniées"Pour David Derrouet, une "connivence entre le pouvoir économique et le pouvoir politique" a "fait reculer le gouvernement"

Anonyme a dit…

Des versements d’argent clandestins, de l’évasion fiscale, un compte en banque secret, des retraits en liquide, des enveloppes pleines de billets qui circulent, de la corruption pour 16 millions d’euros, et sur toute cette pratique, motus et bouche cousue, c’est la loi du silence.
Est-ce là la liste des ingrédients d’un film sur la mafia ?
Non. C’est la routine du patronat de la métallurgie dont les représentants viennent de passer en procès, pour avoir utilisé une caisse noire pour soudoyer des bureaucrates syndicaux, entre autres, afin d’éviter des conflits sociaux. Mais comme la justice est bonne fille avec le monde patronal, les représentants de l’UIMM qui se retrouvent dans le box des accusés ne risquent que de la prison avec sursis et une amende qui sera au maximum équivalente à 2,5 % des sommes qui ont disparu de cette caisse, sans qu’on en connaisse les destinataires.
La justice a les yeux bandés… surtout quand elle juge des patrons.

Anonyme a dit…

La dernière livraison de Pôle emploi sur les chiffres du chômage remet les pendules à l'heure. Le nombre de nouveaux chômeurs de catégorie A pour septembre atteint 60.000. Le nombre total de chômeurs est désormais de 3,3 millions, nouveau triste record. L'effet « bug » a fait long feu. La tentative gouvernementale de désamorçage ne suffira pas à réduire l'impact de la bombe sociale.