06/05/2016

CONSEIL MUNICIPAL DU 2 MAI

Un bref conseil municipal s'est réuni le 2 mai avec sept questions à l'ordre du jour.

- Création du syndicat mixte de l'eau, de l'assainissement collectif et non-collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication. Ont été élus délégués pour la ville de Romilly : Eric Vuillemin, Jean-Claude Lellouard, Florinda Perrot, France Collin et Pierre Mathieu comme titulaires, Jean-Albert Hosdez, Richard Renaut, Martine Richard, Dany Bouteiller et Sarah Auzols comme suppléants.
- L'ouverture du marché communal hebdomadaire au centre commercial Robespierre est reporté au 25 mai.
- Demande de subvention auprès de la caisse d'allocations familiales pour la réfection du réseau de chauffage au centre de petite enfance Picasso.
- Demande de subvention au titre du Fonds National pour l'Aménagement et le Développement du Territoire pour la mise en œuvre de l'agenda d'accessibilité des handicapés aux bâtiments municipaux.
- Demande de subvention au titre du FNADT pour un plan de rénovation thermique de bâtiments  municipaux au stade municipal, au centre de petite enfance Picasso, dans différentes écoles, à la bourse du travail, à l'hôtel de ville.
- Rénovation de deux courts de tennis couverts défectueux au stade municipal.
- Validation de la mise en place de l'opération « j'apprends à nager »  à la nouvelle piscine pour un maximum de 15 enfants au cours du mois de juillet.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

A un an de la présidentielle, le Premier ministre prend le risque de fracturer la majorité en dégainant le 49-3. Fait inédit, des élus de gauche envisagent de voter la censure... avec la droite !

Anonyme a dit…

Drôle d’anniversaire. Trente-cinq ans, jour pour jour, après l’accession de François Mitterrand à l’Elysée, François Hollande et Manuel Valls ont constaté, mardi, qu’ils n’avaient plus de majorité à l’Assemblée nationale sur les grands textes économiques et sociaux. Fustigeant une «opposition des contraires», le Premier ministre a engagé, en fin d’après-midi, la responsabilité de son gouvernement sur le projet de loi réformant le code du travail, en ayant recours pour la quatrième fois (dont trois pour la loi Macron) du quinquennat à l’article 49.3 de la Constitution.

Anonyme a dit…

Le premier ministre a dégainé hier l’arme constitutionnelle du 49-3 pour imposer la loi travail, méprisant le dialogue parlementaire après avoir méprisé le dialogue social. Cet acte brutal vient couronner la parodie de débat organisée par le gouvernement.

Anonyme a dit…

Juppé a proposé hier lors d’un meeting de réduire le nombre de postes de fonctionnaires sur le quinquennat, de 250.000 à 300.000 au total (dont 200.000 à 250.000 pour l’Etat et les hôpitaux). Il ne toucherait pas à l’éducation, la police, la défense et la justice. Il entend augmenter le temps de travail des fonctionnaires sans remettre en cause le statut.

Autre réjouissances : Suppression de l’ISF, sortie des 35 heures avec « référence du travail à 39 heures », âge légal de la retraite à 65 ans, zéro charges sur le Smic, réforme du droit du travail, etc. Il annonce également vouloir tailler dans la dépense publique, avec une coupe située entre 85 et 100 milliards d’euros sur les cinq ans, plafonner les revenus d’assistance, baisser la masse salariale de l’État via les départs en retraite, une TVA compétitivité, suppression du tiers payant généralisé...